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Les agents du Foyer d’accueil médicalisé (FAM) et de la Maison d’Enfants à caractère social (MECS) de Saint-Clar sont venus rencontrer David Taupiac, à la fois maire de la commune et président du conseil d’administration.
Lors de cette entrevue, ils lui ont indiqué l’injustice qu’ils subissent, du fait que les accords dits du Ségur différencient les bénéficiaires de la fameuse prime de 183 € mensuels, ce qui représentent pour certains d’entre eux plus de 10 % de leur rémunération. En effet, les agents d’accompagnement que sont les maîtresses de maison, les personnels administratifs et techniques en sont exclus.
David Taupiac leur a exprimé son soutien et dénoncé cette division entre membres d’un même collectif de travail, d’autant qu’elle se double de l’écart créé avec les mêmes catégories travaillant à l’EHPAD, qui en ont bénéficié.
Cet imbroglio ne peut perdurer car cela contribue à éloigner de ces métiers dont, comme l’a souligné David Taupiac, la nécessité n’est plus à démontrer et dont les vacances se font lourdement sentir.
Lors de sa réunion du 26 avril, le conseil d’administration a apporté son soutien aux revendications des agents concernés.