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Deux téléfilms de suspense, un thriller et un drame à vous proposer pour votre soirée de mercredi.
Sur France 2, à 21 h05, le téléfilm qui a inauguré une série sur le même thème, Disparition inquiétante avec le commissaire Rosetti interprété par Sara Forestier
A l’issue d’une visite scolaire à la cathédrale de Strasbourg et en pleine foule, 9 enfants se volatilisent et leur enseignante est assassinée.
Un suspense bien mené...
Un autre téléfilm de même genre sur Chérie 25 à 21 h 05 Ange de feu en deux parties avec Frédéric Diefenthal et Louise Monot
Après le suicide de sa mère, Lola retourne dans son village du Périgord
Révélations et crimes en rafale, sur fond de terroir…
Une réalisation efficace
Sur Canal Plus à 21 h 05 un thriller le rythme de la vengeance avec Jude Law (2020)
La vie de Stéphanie est détruite lors du crash du vol NEO27. Sa famille était à bord et il n’y a pas eu de survivants. Dévastée, elle tombe dans la drogue et la prostitution jusqu’au jour où elle découvre que le crash n’était pas un accident mais un acte terroriste…
Elle devient alors une tueuse à la recherche de responsables…
Un film d’espionnage à gros budget qui est plutôt une bonne surprise malgré son échec au box-office américain
Bande annonce le rythme de la vengeance
Enfin, sur Arte à 20 h 55, Capharnaüm, film dramatique américano-franco-libanais de Nadine Labaki qui a été trois fois primé à Cannes dont le prix du jury 2018.
Le film commence ainsi : à l'intérieur d'un tribunal, Zain, un garçon de 12 ans, est présenté devant le juge. À la question : " Pourquoi attaquez-vous vos parents en justice ? ", Zain lui répond : " Pour m'avoir donné la vie ! ".
À travers une série de flash back, le film raconte la vie d'un enfant des rues, le jeune Zain, qui vit d'expédients dans un quartier misérable de Beyrouth avec sa famille. Le garçon livre les commandes de ses voisins, essaie de soutirer quelques pièces aux automobilistes, aide sa mère à trafiquer des médicaments stupéfiants. Au cours d'une fugue, il rencontre Rahil, une immigrée éthiopienne sans papiers et son bébé Yonas ; en l'absence de Rahil, le préadolescent s'occupe comme un frère du tout jeune Éthiopien qui, autrement, serait mort de faim.
Capharnaüm, c’est un peu Oliver Twist ou Les Misérables de nos jours au Proche-Orient .
Le film a divisé les critiques : certains y ont vu une œuvre bouleversante sur le thème de l’enfance maltraitée, d’autres un mélo larmoyant…
À vous de juger !
