Circuit des arts Pentecôtavic 2024 : ELJO expose aux arènes « L'artauromachique »

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Du 18 au 20 Mai 2024, Eljo vous dévoilera son exposition « L'artauromachique » d' une trentaine d'oeuvres , photographies et peintures dans la galerie des arènes de Joseph Fourniol à Vic-Fezensac durant tout le week-end de la féria de Pentecôte.

Une exposition combinant moments furtifs, mouvements, puissance, couleur ou noir et blanc,

Eljo montre le «Toro» dans toute sa force et sa bravoure faisant de lui une splendeur mystique.

L'animal est au coeur de son travail. D'ailleurs, sur ses oeuvres, les toreros sont anonymes pour accentuer la «caste du toro». On ressent toutes les émotions vécues lors du spectacle et toute la fierté de l'animal et l'orgueil du torero.

Contrairement à la tendance du moment, Eljo veut mettre en vedette le «toro bravo» en le faisant combattre par l'ombre d'un homme plutôt que de mettre en vedette cet homme combattant l'ombre d'un taureau.

Le vernissage de « L'artauromachique » aura lieu le 16 mai 2024 à la galerie des arènes Joseph Fourniol à partir de 19h00.

Lors de ce vernissage, Eljo sera récompensé du 1er prix de la 15ème édition du concours du «Domaine des Romarins », producteur de vins de Côtes du Rhône, à Domazan, près d'Avignon, dans le Gard. Ce concours est organisé chaque année, en décembre, sur le thème de la corrida.

Environ 150 photos avaient été présentées et 39 retenues pour l'exposition dans les chais du domaine émanant de 28 photographes.

Le laureat, Eljo, succède, entre autres, à Alfredo Arevalo, Roland Costedoat, Philippe Latour, Michel Volle, Laurent Bernède et, en 2022, Romain Tastet.

Installé à Mauvezin depuis dix ans, natif de la région Condomoise dans le Gers, Eljo continue son chemin dans ce village où il a choisi de vivre.

Né en 1974 à Condom dans le Gers, passionné de photographie, en 1991, il suit une formation à l’école technique de photographie et de l’audiovisuel (E.T.P.A.) à Toulouse.

Il axera sa carrière vers la photo notamment sur le sport, la photo d'art publicitaire en studio pour se diriger ensuite vers la photographie taurine et animalière sauvage, des univers complètement différents qui ne laissent jamais la créativité et la sensibilité de son âme de côté.

Après avoir pénétré les charmes flamboyants et les secrets tauromachiques, c'est autour des arènes qu'Eljo se plait. Son odeur, ses chorégraphies, ses costumes, son ambiance chaude et festive servent de muse à Eljo pour transformer ses émotions.

Eljo s’évade, se retranche dans ce monde là depuis un très grave accident en 1994 en illustrant , avec ses photographies, quelques revues taurines.

C'est dans ce théâtre antique où les rôles sont distribués, qu'Eljo aura le déclic qui le poussera à transformer ces émotions, tout en ressentant la symbolique entre le destin du toro qui allie force, puissance et courage et son parcours de vie personnel tel un combat « Toro bravo» .

Sa deuxième passion de prédilection sera le dessin et la peinture :

ELJO montre à travers ses toiles et ses techniques mixtes l'intensité et la beauté de cet espace magique, en accentuant les couleurs, dans la joie, le mouvement et la gaieté même si l'issue reste fatale. Il agit avec une extrême finesse sans pour cela effacer les gestes de la création.

Résolument figuratif, mais nullement illustratif .


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