Alain Bouffartigue, président, a inauguré le Festival accompagné de Xavier Brunetière, préfet ( une première pour lui), des élus locaux et régionaux, et de diverses personnalités du monde du cinéma (critiques, réalisateurs , exploitants, producteurs) telles que Charles Tesson, Andréa Santana, Jean Pierre Duret, Naël Marandin …
Les cinéphiles fidèles, mais en nombre limité, ont rempli les gradins selon les recommandations préfectorales.
« C'est un festival qui va se dérouler d'une manière différente » a annoncé le président « bien sûr, a t il continué , l'esprit, la démarche culturelle restent les mêmes, nous défendons et perpétuons un type de cinéma et de salles aux dimensions d'exception culturelle ... »
Indépendance(s) et Création « survivant » c'est le maintien affectif avec le public, un acte symbolique, un lieu de rencontres et d'échanges et avant tout le plaisir pour tous :
Le bouquet de films (46) proposé est plein de vitalité et de création .
Cette 23 ème édition, n'est pas tout à fait comme les autres, même si les restrictions et la gravité de la situation sont omniprésentes, en accord avec le président du Festival d'Alès, plus que jamais soyons « Auch les cœurs ! » a conclu Alain Bouffartigue .
La projection du film "La Terre des Hommes" présenté puis commenté par son réalisateur Naël Marandin a clôturé la soirée
photos JL Tovar et P Roquecave