Feu vert pour le renouvellement urbain du Grand Garros

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La convention pluriannuelle a été paraphé par le directeur de l'ANRU, Nicolas Grivel

Ce sont onze partenaires dont Nicolas Grivel, directeur général de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), qui ont paraphé à la salle Montaigne du Garros, ce 11 septembre, la convention pluriannuelle du projet de renouvellement urbain du quartier du Grand Garros. Lequel va s’étaler de 2019 à 2026 dont le but est de « désenclaver ce quartier refermé sur lui-même, réaliser une meilleure liaison entre le Garros et La Hourre, rétablir un meilleur équilibre entre habitat social et habitat privé… ». En somme, de grands changements en perspective dont, entre autres, le déplacement du centre commercial, la création d’une nouvelle rue qui nécessitera la démolition de plusieurs immeubles (A, B, C, D, G, H, R partiel, T, E, la tour Athos), des rénovations de logements. Une opération dont le coût total s’élèverait à 78 millions d’euros.

Ils ont dit :

Christian Laprebende, maire d’Auch : « Je suis fier de vous recevoir, pour ce match retour, Monsieur le directeur, car je me souviens que nous n’étions pas très sûrs dans votre cabinet à Paris lors de la présentation de notre projet. Aujourd’hui, nous sommes plus détendus ».

Catherine Séguin, préfète du Gers : « Ce projet existe parce que nous avons joué groupé. C’est un projet réalisable et ambitieux de 73 millions d’euros et nous avons obtenu 34,5 millions d’euros ».

Nicolas Grivel, directeur de l’ANRU : « Ce n’est pas une fleur qui a été faite à votre ville, votre quartier, c’est grâce à la qualité de vos travaux ».

Franck Montaugé, sénateur : « Ce projet de plus de 80 millions d’euros est le plus grand projet de l’ère contemporaine du Gers. Des milliers de personnes vont être affectées par ce projet, ce n’est pas banal du tout ».

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