Un nouveau directeur général des services de la commune (DGS) est en place depuis un mois à Nogaro : Patrick Ferrer. Il succède à Rkia Hirel. Il est d’un abord affable, solide et calme.
Âgé de 55 ans, il a derrière lui 30 ans de carrière dans l’administration de communes de l’Île-de-France. Il arrive de Chelles, ville la plus peuplée de Seine-et-Marne avec plus de 53 000 habitants. Il y était en charge des affaires civiles (documents d’identité, inscription sur les listes électorales etc.). Auparavant, il avait déjà dirigé l’ensemble des services de plusieurs communes. Son épouse, qui exerce des fonctions similaires également en Île-de-France, le rejoindra bientôt.
Pourquoi venir à Nogaro ?
On peut se poser cette question à bon droit, puisque le grade atteint par Patrick Ferrer dans l’administration lui permettait de postuler pour une ville plus grande. Voici ce qu’il répond, tant au plan professionnel qu’au plan personnel.
Professionnellement, Patrick Ferrer veut retrouver le terrain sans intermédiaire et voir le résultat des décisions qu’il contribue à préparer, ce qui n’est pas souvent le cas dans une ville plus grande. De plus, il est impressionné par le dynamisme de Nogaro et la foule d’événements qui y a lieu.
Personnellement, il souhaitait se rapprocher de deux de ses trois enfants qui sont établis dans le sud de la France. Amateur de sports mécaniques, il est heureux de se rapprocher du circuit. De plus, il est séduit par toutes les possibilités d’activités offertes par Nogaro : la marche, les nombreux ateliers du Centre social et culturel le Clan etc.
Les priorités du DGS
Pour le nouveau DGS, la première priorité est de continuer à bien faire fonctionner les services. À ce propos, il se félicite que les dossiers soient parfaitement en ordre si bien que l’on peut s’appuyer sur les travaux des élus pour les nouveaux projets - « ce qui n’est pas le cas partout ».
Ensuite, il a à cœur de former les agents des services. Enfin, il participera activement aux projets municipaux en aidant à la prise de décision. Sans toutefois l’influencer.
Nous lui souhaitons la bienvenue.