Avions-nous raison avant l’heure ?
Avions-nous raison avant l’heure ?
Depuis notre élection, nous n’avons cessé de privilégier l’intérêt général en opposition aux dictats des partis politiques qui, depuis Paris, intimaient l’ordre et la discipline.
Après les consultations nationales de cette année, il faut bien se rendre à l’évidence qu’une désaffection profonde touche la classe politique.
La déliquescence des partis d’alternance ne fait que conforter notre position d’indépendance.
Nous affirmons avec conviction qu’un département ne se gère pas sous la position dominante de la pensée unique.
Nous continuerons donc, à notre place, à rechercher avec le Président, Philippe Martin, les orientations les meilleures pour le Gers.
Nous aurons sur certains sujets des dissensions ou des avis différents et nous les ferons entendre.
Toutefois si l’esprit de cohérence, positif pour le Gers et pour sa population prévaut, nous assumerons nos responsabilités dans une totale transparence.