A la télévision, dimanche soir....

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Deux occasions de passer une très bonne soirée, dimanche soir, sans aller chercher du côté du câble !

TF1 et C8 vous proposent deux très bons films, dans des genres très différents !

Sur TF1, à 21 h 05, vous pourrez vous divertir avec Tous en scène, film d’animation américain de Garth Jennings et Christophe Lourdelet (2016)

Buster Moon, un koala, est le propriétaire d'un théâtre au bord de la faillite. Ses spectacles n'ont jamais attiré grand monde et le bâtiment menace de s'écrouler. Buster décide alors, pour renflouer ses caisses, d'organiser un grand concours de chant afin de redonner de la gloire à son théâtre. Seulement, une faute de frappe et la récompense du concours passe de 1 000 à 100 000 dollars, attirant une foule d'animaux prêts à tenter leur chance pour réaliser leurs rêves.

Parmi eux, Rosita, mère de 25 petits cochons habituée à chanter dans sa cuisine, Johnny, un jeune gorille soucieux d'échapper à son destin de braqueur ou Ash, une jeune porc-épic rebelle amatrice de rock

De Lady Gaga à Pavarotti, il y en a pour tous les goûts dans "Tous en scène".

En effet, l'atout majeur de "Tous en scène" est sa bande-son riche de plus de 60 tubes musicaux et marquée par un grand éclectisme des années 50 à nos jours.

Une « comédie musicale » menée à un rythme d’enfer !

Sur C8, à 21 h 05, un grand classique Touchez pas au grisbi de Jacques Becker (1953), avec Jean Gabin, René Dary, Jeanne Moreau, Lino Ventura et Dora Doll.

Max-le-menteur et Riton viennent de réussir le coup de leur vie : voler 50 millions de francs en lingots d'or à Orly. Avec ce "grisbi", les deux gangsters comptent bien profiter d'une retraite paisible. Mais Riton ne peut s'empêcher de parler du magot à sa maîtresse Josy. L'entraîneuse transmet la précieuse information à Angelo, un trafiquant de drogue avec lequel elle trompe Riton. Angelo kidnappe le vieux truand et demande le "grisbi" à Max comme rançon...

C’est LE  film référence du polar à la française ; dans les années 50 et 60, les films réalisés par Melville, Grangier, Verneuil, entre autres réalisateurs, ont tous une grande dette envers cette « matrice », qu’il s’agisse de la description réaliste du  « milieu » ou de la forme entre chronique sociale et film d’action.

En prime, deux débutants prometteurs, Jeanne Moreau et Lino Ventura...

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