À 84 ans, Willy Edmond Gutman est de retour avec son quinzième ouvrage « Les Diableries de Morphée ». Fils d’un résistant gersois, le journaliste et écrivain franco-américain, qui vit en Floride, y manie la plume avec son style atypique, drôle, émouvant, indécent et psychédélique qui nous entraine dans ses escapades nocturnes, non sans nous avoir prévenus : « Lecteurs, méfiez-vous ».
Rêvons-nous la vie que nous vivons ? Ou sommes-nous les débris difformes des phantasmes d'un congénère inconnu ? Dans sa plus récente dystopie, l'auteur se penche sur les paradoxes, les aberrations, les tromperies et les monstruosités qui marquent la condition humaine. Incitant le renversement des faux prophètes et des démagogues, une mission qu'il considère urgente et déjà bien en retard, il met en garde sur le fait que le plus grand obstacle à la sagesse n'est pas un manque de savoir, mais l'illusion que nous savons tout alors que nous nous réfugions dans les ténèbres réconfortantes de l'ignorance.
« Garder le silence, ignorer les mensonges enhardissent les menteurs. Quand on méprise la vérité, on encourage l’Histoire à se moquer d’elle-même ».
Le livre n’est disponible que sur Internet.