Première édition du festival de la chanson française avec Les Geais Déchaînés

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Un parfum de succès à réitérer

Le village de Duran a vibré avec la 1ère édition du Festival les Geais Déchaînés, un événement associatif, aux valeurs engagées et assumées, qui a remporté l’adhésion de son public, très nombreux ce week-end !
Un festival partagé entre espaces intérieurs et extérieurs, aux tonalités éclectiques. Piano, accordéon, rock puissant, electro-swing... Il y en avait pour les goûts !

Avant même d’arriver dans l’enceinte du Festival, on sent déjà une bonne odeur flotter dans l’air. Les producteurs locaux accueillent les festivaliers par les papilles. La ferme du Loriot, et leur pain tout fait-maison, Le Delikatessen et ses délicieuses boulettes végé, Jodaël et ses assiettes de charcuterie au porc noir de Bigorre, les savoureux fromages de la ferme du Serre, Mathieu Roumat et sa tête de veau à la sauce gribiche qui a bien vite été dévalisé ! À ses côtés, Christophe Escousse et ses huîtres et moules à la plancha qui finissent de faire le bonheur des festivaliers.  Le point commun entre eux : des aliments locaux issus de production bio ou raisonnée. Le festival a fait le choix de privilégier les circuits courts et des produits de qualité.

À l’intérieur, un plafond d’oiseaux flotte au dessus des festivaliers. La décoration offre une identité particulière, sans compter les gigantesques geais, oiseaux emblématiques du village et identitaire du festival, trônant admirablement au milieu de la scène. Cet oiseau, nous dit-on, a été dessiné par la talentueuse Marion Le Gallen, jeune graphiste gersoise.

Autour du bar, une ambiance joyeuse, avec le Gueux en apéro-concert, qui débute un répertoire de reprises tout en folie.
Clara Sanchez lui enchaîne le pas, avec sa voix puissante et son accordéon. Enfants, aînés et entre deux-âges, toutes les générations sont accrochées à ses histoires musicales.

Puis vient le temps du rock, avec Graines de Sel qui déchaînent les festivaliers, suivis par les dandys Scratchophone Orchestra et leurs swing-electro. Tous ont joué le jeu des reprises de l'icône à l'honneur : La Môme Piaf.  La Foule, La vie en rose, Les amants d'un jour... Chaque groupe a repris un ou deux tubes de Piaf, sans sortir de son registre musical. Surprise de taille entre les concerts, la banda Lous Papalounes qui offre des tonalités cuivrées et festives, et clôture gaiement la soirée !

 La convivialité, la solidarité, le respect et la joie des festivaliers et des nombreux bénévoles ont fait l’âme du festival Les Geais Déchaînés qui a accueilli près de 400 personnes, un chiffre exceptionnel pour une première édition.

 Les valeurs fortes prônées par le festival, alimentation locale, écoresponsabilité, ouverture culturelle et sensibilisation, mais aussi programmation éclectique et une offre intergénérationnelle ont conquis le cœur des festivaliers.

Les organisateurs réfléchissent déjà à leur seconde édition 

Photos Lucienne Trille

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