.jpg)
Le retour de la Stagiaire, une comédie sociale, un film d’animation et un thriller historique à vous proposer mardi soir.
Sur France 3 à 21 h 05, Michèle Bernier retrouve son personnage de Constance dans la saison 6 de La stagiaire
Pour rappel, Constance Meyer qui a repris ses études de droit sur le tard est la stagiaire décomplexée d’un juge psychorigide. Ce duo improbable instruit des affaires de meurtre : un protecteur des oiseaux retrouvé au fond d’un ravin et un jeune influenceur retrouvé mort au domicile de ses parents pour les deux premiers épisodes de cette sixième saison.
Sur C8, à 21 h 15, un film de Cédric Klapish (2011) avec Karin Viard et Gilles Lellouche Ma part du gâteau
Un jeune trader engage comme femme de ménage une ancienne ouvrière au chômage.
Deux mondes aux antipodes vont s’affronter.
Une comédie sociale grinçante qui doit beaucoup au duo Viard Lellouche
Bande annonce Ma part du gâteau
Sur Gulli à 21 h 05, un film d’animation de Jamel Debbouze Pourquoi j’ai pas mangé mon père (2015)
Même s’il a grandi à l’écart de ses semblables simiens qui le rejettent, Edouard, inventeur de la bipédie, va, sans rancune, les guider sur le chemin de la l’humanité et du progrès.
Du rythme, de l’aventure, de l’ humour et de l’amour, au sens large du terme…
Premier dessin animé entièrement réalisé en performance capture ( capture numérique des mouvements des comédiens ) en Europe.
Bande annonce Pourquoi j’ai pas mangé mon père
Enfin, notre coup de coeur, sur Canal Plus à 21 h 10 un thriller historique L'ombre de Staline de Agnieszka Holland (1 h 59) sorti le 22 juin 2020 .
En 1933, Gareth Jones, journaliste indépendant, vient de publier la première interview d’Adolph Hitler tout juste promu chancelier.
Le reporter veut enchaîner sur un entretien avec Staline pour percer le secret du "miracle soviétique", une réussite économique paradoxale alors que le pays est ruiné.
Arrivé à Moscou, il se retrouve sous surveillance, lâché par les occidentaux, et son principal contact disparaît.
On lui glisse à l’oreille que les ressources financières soviétiques émaneraient de l’or ukrainien. Il parvient à fuir à Kiev, enquête, et découvre une terrible vérité : pour financer « le progrès », l’URSS exporte des céréales et affame son peuple réduit au cannibalisme...
Entre thriller historique et film d'espionnage, l'histoire vraie d'un "lanceur d'alerte" avant l'heure, qui dénonça, sans être entendu, la famine en Ukraine organisée par Staline en 1933.
