Ceux qui ont connu Carchet City à sa naissance le 4 juillet 2016, ont peine à reconnaître ce village western bâti comme dans les films, tout en bois. Outre le saloon, la « cantina », l’épicerie General Store, le bureau du shérif, le « barber shop », il y a, à présent,une baraque d’accueil, une banque et, surtout, tous les bâtiments situés sur le côté de la rue du village qui fait face au saloon, sont peints de vives couleurs. Et ce n’est pas fini : une église est en projet (on demande des donateurs pour cette opération évaluée à 5 000 euros).
Le Journal du Gers a passé la soirée du samedi 4 juillet, jour de « l’Independence Day » avec les cow-boys et leurs amies à Carchet City. Il y avait beaucoup de visiteurs, certains venus de loin. D’aucuns étaient venus simplement pour prendre un pot et profiter du spectacle et de la musique.
Au programme :
-
cours de madison au saloon,
-
musique country par le groupe musical d’Alain,
-
apéritif,
-
repas de travers de porc, partagé avec plus de 100 convives, tant dans la cantina que sur une terrasse toute neuve,
-
hymne américain pour fêter « l’Independence Day »,
-
acrobaties à cheval impressionnantes par David (de Manciet),
-
démonstration de lasso et de fouet et, clou final, attaque de la banque à la nuit tombée.
Jean-François Vayrac, dit « Jeff », créateur de Carchet City avec ses amis, peut être fier de cette initiative très dépaysante qu’est la création d’un repaire de cow-boys du temps de la Guerre de Sécession, que l’on ne s’attend évidemment pas à trouver en plein Gers. C’est très agréable et très dépaysant d’être immergé dans un western !
Et l’on peut faire des ballades à cheval et passer la nuit (il y a des chambres d’hôtes). Le site est ouvert du vendredi après-midi au dimanche soir, toute l’année.
Noter que, le samedi 1er août, il y aura un programme particulier...
Pour déjeuner ou dîner, il vaut mieux réserver (06 89 03 67 55 ou mailto:[email protected]). Pour plus de renseignements, voir le site (https://www.carchetcity.fr/).