Dans notre précédent article sur ce même sujet, j'avais indiqué que, en raison des dépenses élevées nécessitant la création d’une école regroupant Filles et Garçons, la décision avait été prise de rajeunir celle qui accueillait ces derniers.
Si nous regardons bien la vue la représentant et si nous la comparons à la situation actuelle, nous nous rendons compte que l’actuelle mairie, ancien presbytère, était pratiquement accolée à l’immeuble voisin.
Immeuble qui regroupait services de la mairie et école communale de garçons. L’effectif y était confortable. Elle comprenait classe des petits et classe des grands. Isidore Mirel était dans la classe des grands.
La place de l’Hôtel de ville en constituait la cour. Mais un préau couvert et la réfection de la toiture figuraient sur la liste des travaux à entreprendre.
Écolier consciencieux, notre Isidore pouvait parfois fréquenter le piquet ! Et me dit-il un jour : je connaissais tous les arrêtés, en particulier ceux de la préfecture ! En fait, placé où il était quand il avait été puni, il avait devant lui le panneau d’affichage de la mairie fixé sur le mur qui existait à l’époque et que l’on peut voir sur l’illustration !
Autre information en lien avec l’école, la mésaventure que connurent les élèves, un jour qu’ils jouaient au ballon sur la place. La malice des objets veut qu’ils aillent dans des endroits impossibles. Ce fut le cas de ce ballon qui tomba dans le puits près de la Table d’Emma. Aussitôt penché sur la margelle, lsidore et ses copainse eurent beau regarder, le ballon avait disparu.
Souvent, nous entendons dire qu’un souterrain relierait Flaran à la bastide. Je vous laisse seul juge de la réponse. Quant aux enfants, ils en furent pour en trouver un autre.
Claude Laffargue