500.000 tombes de soldats morts pour la France risquent de disparaître dans nos cimetières communaux.
Dans chacune de ces tombes reposent un combattant de la Première Guerre mondiale - 300.000 corps ont été restitués aux familles -, un combattant ou une victime de la Seconde Guerre mondiale - plus de 150. 000 corps ont été restitués -, un combattant des guerres d’Indochine et d’Algérie - plus de 40.000 ont été restitués et tous les combattants tués dans les opérations extérieures de la France depuis 1963.
Ces restitutions répondent au désir des familles d’inhumer leur fils, leur père ou leur époux dans un cimetière de la commune de naissance.
Malheureusement, les tombes familiales vivent ce que durent les concessions, 15 ans, 30 ans, 50 ans, 90 ans ou perpétuelles.
La concession achevée ou la tombe entrée en déshérence, la tombe est supprimée.
Le Mort pour la France inhumé dans la tombe disparaît avec elle.
Cette disparition est inacceptable.
Enterré dans un cimetière communal, un Mort pour la France s’enracine dans trois histoires familiales, il donne un sens à la famille, la commune et la Nation dans une histoire partagée.
Afin de maintenir ce triple enracinement, le Souvenir Français est partout mobilisé afin qu’aucune tombe de Mort pour la France ne disparaisse de nos cimetières communaux.
Pour relever de défi, le Souvenir Français a besoin de chacun d'entre nous.
Aidez-le ! Un don lors de la collecte annuelle du Souvenir Français qui a lieu, cette année, du jeudi 31 octobre au dimanche 3 novembre, c’est un pas de plus pour sauvegarder notre mémoire - la mémoire de notre Nation - la France.