Alexandre Arlin, Président du Parti Renaissance Gers, revient sur l'article paru dans le journal du
Il semblerait que la Fédération Socialiste du Gers rencontre encore des problèmes de connexion avec la réalité. Heureusement, grâce au déploiement de 55 pylônes 4G depuis 2017, même les zones les plus reculées du département peuvent désormais entendre leurs médisances.
Miné par les querelles de personnes et les haines recuites, le PS gersois en est réduit aux attaques personnelles pour cacher son bilan. Avant 2017, il avait tous les pouvoirs. Qu’en a-t-il fait ? Rien. Il a fallu l’élection de Jean-René Cazeneuve et l’engagement de notre majorité pour débloquer des dossiers essentiels laissés en friche.
Prenons deux exemples simples mais cruciaux :
Le dédoublement de la RN 124, un axe vital pour le désenclavement du Gers. Ce chantier, qui stagnait depuis des décennies, bénéficie aujourd’hui d’un engagement de 142 millions d’euros pour être enfin achevé.
Depuis 2017, la Dotation des communes gersoises, amputée de 10 % entre 2014 et 2017, a augmenté de 20 %. Des actes, là où il n’y avait que des discours creux.
Soumis aux insoumis, votant à l’Assemblée nationale comme eux, le PS se met à faire dans l’invective. C’est la raison pour laquelle tant d’anciens électeurs socialistes nous ont rejoint. Jamais nous n’utilisons ces méthodes et notre combat à nous, c’est de lutter contre les extrêmes. Nous préférons agir pour améliorer le quotidien des Gersoises et des Gersois, plutôt que de multiplier les attaques stériles.
La nomination de Jean-René Cazeneuve à la présidence du Conseil de surveillance de la Caisse des Dépôts est une chance pour le Gers et une reconnaissance de sa compétence et de sa capacité à défendre les territoires ruraux. D’ailleurs, l’unique députée socialiste membre de cette commission a voté pour lui.
Vous décrivez dans votre tribune tous les maux et retards de notre département. C’est probablement parce que le PS le dirige depuis 26 ans. Avec des méthodes que nous connaissons puisque son président a été condamné pour détournement de fonds publics !
Jean-René Cazeneuve agit et son action sur le terrain est largement reconnue par les gersois. En politique, les envolées lyriques ne construisent ni routes, ni hôpitaux, ni pylônes 4G, ni dotations d’investissement.