L’incroyable Hyperloop va entrer dans sa phase de test à Toulouse. À l’origine de ce méga projet, on retrouve le très célèbre milliardaire américain, Elon Musk, porteur de projets spectaculaires (Space X, Tesla…). Et également, le patron de Virgin, Richard Branson, même s’il s’est retiré récemment du conseil d’administration, tout en restant actionnaire majeur.
Alors que le Virgin Hyperloop One poursuit sa mise au point aux Etats-Unis, la version française prend tournure depuis le centre de recherche et de développement installé sur l’ex-base militaire de Toulouse-Francazal. En janvier 2017, la Région Occitanie a décidé de s’associer au projet et d’investir 1 million d’euros. La SNCF a rejoint l’expérimentation de ce mode de transport révolutionnaire.
La première capsule est arrivée…
La première capsule, fabriquée en Andalousie, près de Cadix, vient d’arriver à Toulouse. Elle va permettre de réaliser les premiers tests dans les tubes en acier qui sont en cours d’assemblage au sud de Francazal. Ce premier tube, de 4 m de diamètre intérieur, fera environ 300 m de long.
L’Hyperloop sera boosté par l’activation de champs électromagnétiques à l’intérieur du tube, vidé de son air pour supprimer les frottements. La capsule est dotée d’un moteur à induction linéaire, alimenté par des batteries. Passé une certaine vitesse, elle décolle automatiquement avec un effet de lévitation. C’est ainsi que ce « train » révolutionnaire peut atteindre une vitesse de 1 000 km/h jamais atteinte en transport terrestre et sans mur du son.
La capsule, baptisée Quintero One, mesure 32 mètres de long et 15 de large. Elle utilise un matériau composite « intelligent » particulièrement innovant, le Vibranium, conçu par Hyperloop Transportation Technology (HTT).
Informations sur le site internet d’Hyperloop – cliquez ici
Photos DR
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