A l'invitation de Barney, créateur avec son épouse de l'épicerie bio "Ecotopie", cette nouvelle habitante de Plaisance dédicacera ses livres
jeudi 19 décembre 2024 de 10h à 12h
au coeur d'Ecotopie, au 24 de la rue Adour à Plaisance du Gers
L'écrivaine, habituée des "Salons du Livre", notamment à Paris, Lyon, Marseille, et en d'autres lieux de l'hexagone, est installée à Plaisance du Gers depuis quelques mois... Le dessinateur Emmanuel Guibert célébré il y a peu sous la Coupole de l'Académie des Beaux-Arts, et créateur de la série Ariol, dont on trouve depuis des années les livres à la Maison de la Presse de Laurent Lavedan sur la place de l'église de Plaisance, ne démentirait pas les propos que nous a confiés Dominique Sorrentino-Florentz...
En plus du dialogue sensible et enthousiaste que Emmanuel Guibert et Dominique Sorrentino-Florentz sont tous les deux capables d'établir avec les enfants, un trait commun les relie encore à cette bourgade gersoise : le grand orgue et leurs amitiés réciproques avec les créateurs de la manufacture d'orgues de Plaisance !
Dominique Sorrentino-Florentz s'exprime ainsi :
« Mon texte et mes illustrations sont le résultat d’une recherche, d’une démarche personnelle sur l’image et l’environnement.
En tant qu’éducatrice spécialisée, j’ai souvent mêlé l’art aux activités que je menais avec les enfants ou les adultes. J’ai toujours considéré l’art comme un moyen de communication exceptionnel car il permet d’exprimer et de transmettre un message.
Depuis toujours, les enfants possèdent des capacités créatives extraordinaires.
Malheureusement, subissant aussi l’accélération du rythme de la vie moderne, ils n’imaginent plus, ils n’inventent plus.
Devons-nous les abandonner à cette réalité ?
Personnellement, je m’y refuse. C’est pourquoi, mes livres proposent le moyen d’éveiller l’observation, l’imagination et la création, qu’elles soient picturales ou techniques.
Cette démarche devrait attirer l’enfant vers une voie artistique et lui faire découvrir la satisfaction intérieure.
Le monde de Noïs que j’ai imaginé, permet l’ouverture d’un dialogue avec l’enfant, l’invite à jouer avec le texte et l’image pour mettre en pratique « ses » solutions de protection de la nature ».