Journée mondiale pour la fin du spécisme

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Un vaste débat

Dimanche 25 août est la date officielle reconnue de la journée mondiale pour la fin du spécisme (JMFS). Cette journée semble être apparue, en 2015, à l'initiative de quelques groupes très militants en faveur de la cause animale.

Pour la 5ème année consécutive, cette année, la JMFS qui se déroulait en fait samedi 24 août, invitait les groupes de défense des animaux tout autour du globe à organiser des événements qui remettent en question la discrimination spéciste et exigent une véritable prise en compte des intérêts des animaux.

Des manifestations, des happenings, des conférences et d’autres événements sont organisés chaque année dans de nombreux pays. Ainsi, au centre ville de Marseille, une grande marche pour la fin du spécisme était organisée, hier, samedi 24 août, de même que, dans plusieurs autres villes françaises, des rassemblements et des actions pour dénoncer toute discrimination à l’endroit des animaux et exiger une véritable prise en compte de leurs intérêts.

Une position controversée

Le spécisme nous vient des anglo-saxons et l'origine du mot lui-même est anglaise (speciesism). Il s'agit de la considération morale supérieure que les hommes accordent à leur propre espèce, au détriment des autres espèces.

La conséquence de cette vision des choses serait le traitement discriminatoire qui en découle à l'encontre des animaux d'élevage, mais on se rend bien compte du risque de verser là directement dans l'idéologique et le militantisme.

La journée mondiale célébrée aujourd'hui vise tout simplement à la suppression du spécisme et la reconnaissance de l'égalité homme-animal.

Mon chien, c'est quelqu'un...

Plutôt que s'engager dans des vaines polémiques, la parole est à un maître en la matière, Raymond Devos, qui avait illustré à sa manière les rapports entre les hommes et les animaux. Cliquez sur son nom pour retrouver "Mon chien, c'est quelqu'un" sur Youtube.

 

 

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