« Bonne année, bonne santé ! » pour les plus classiques, « Bananée ! » pour les plus rigolos qui aiment bien les jeux de mots. « Que cette nouvelle année vous apporte son lot de joies, de belles émotions, de jolies surprises…» pour les plus inspirés, ou encore « 2019, année de la teuf ! » pour les fêtards invétérés qui n’auront pas manqué de relever la rime poétique.
Cartes virtuelles ou mignonnettes à paillettes, sms envoyés à minuit pile, poignées de mains fraîches mais chaleureuses, mais aussi embrassades préférées des virus hivernaux, vous n’échapperez pas à la tradition des vœux.
À moins d’être seul sur une île déserte sans connexion Internet, pour les autres, ce sera vœux à gogo !
Cette expression « à gogo », qui signifie à profusion, remonte au XVe siècle. Le mot gogo serait issu de « gogue » qui, avant de désigner de façon argotique les toilettes, exprimait la liesse, les réjouissances (on doit également à cette origine en goguette, ou goguenard). « À gogo » s’employait alors pour parler de choses agréables, que l’on avait en abondance. On disait par exemple que les riches avaient de l’argent à gogo. Mais ça, c’était autrefois…
Pour en revenir à nos vœux, vous avez jusqu’au 31 janvier pour trouver LA formule qui vous distinguera auprès de vos amis. Et pour les réfractaires, vous pouvez toujours vous en tirer avec la citation du Chat de Geluck « Meilleurs vœux pour toute la vie. Comme ça, c’est fait une fois pour toutes » !