Communiqué de presse de Michaël AURORA Conseiller départemental d’Auch 1 et ancien premier secrétaire de la fédération socialiste du Gers

Communiqué de presse de Michaël AURORA Conseiller départemental d’Auch 1 et ancien premier secrétaire de la fédération socialiste du Gers

Communiqué de presse de Michaël AURORA Conseiller départemental d’Auch 1 et ancien premier secrétaire de la fédération socialiste du Gers

Alors que nous venons de célébrer l’appel du 18 juin lancé par le Général de Gaulle en 1940, le petit-fils de résistante gaulliste déportée en camp de concentration que je suis, ne peut rester indifférent à l’actualité politique.

Après la dissolution de l’Assemblée nationale, nous n’avons plus que quelques jours pour empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir.

Si le discours des dirigeants du RN est aujourd’hui plus lisse, si le profil de ses candidats parait plus présentable, le projet porté par ce mouvement fondé par Jean-Marie Le Pen demeure profondément réactionnaire, raciste et xénophobe. Et si d’aventure il était mis en œuvre demain, il apporterait sans doute bien plus de problèmes que de solutions à la France et aux Français !

Il suffit d’observer ce qui se passe dans les pays gouvernés aujourd’hui par l’extrême-droite : les libertés sont piétinées, les droits sont bafoués, les avancées sociales sont démantelées, la haine et la violence ont remplacé les valeurs humanistes d’émancipation !

Les couches populaires sont les premières touchées.

Autrefois terre d’accueil pour les victimes du fascisme italien et du franquisme espagnol, le Gers est aussi une terre de résistance !

Dans la période trouble que nous traversons, cette histoire nous oblige : résistons !

Résistons à l’impensable accession du RN au pouvoir !

Résistons en votant pour les candidats de la gauche unie David Taupiac sur la 2nd circonscription du Gers et Pascal Levieux sur la 1ère circonscription !

Tous les deux sont porteurs de propositions concrètes de nature à répondre aux difficultés du quotidien de nos concitoyens gersois.

A cet instant déterminant pour notre pays, je me remémore ce passage du poème de Louis Aragon,

La rose et le réséda :

Quand les blés sont sous la grêle

Fou qui fait le délicat

Fou qui songe à ses querelles

Au cœur du commun combat

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