Julius (artiste peintre )
Dans l’immense espace du Musée Campanaire / espace Pierre Lasserre, c’est un voyage pictural qui est proposé aux visiteurs, au fond du Musée sur les cimaises , c’est l’Afrique qui accueille le « regard » du visiteur, avec la longue marche des éléphants et les personnages hommes et femmes surréalistes de Julius. Certains titres évocateurs, tels que « Séduction » Déception »...Il a une liberté de ton, son univers surréaliste est recherché, il traduit à travers sa peinture, ses rêves, ses émotions..il intrigue par sa technique particulière, ses œuvres oscillent entre le réel et l’improbable...Il confie : « le dessin, je le dois principalement à l’enseignement de Pierre Darques »
Emmanuel Cerda ( artiste peintre )
Là aussi, l’inspiration vient d’animaux de cette étonnante Afrique, son influence picturale animalière est foisonnante, riche par sa singularité, Emmanuel Cerda en a cerné l’importance par sa palette en noir et blanc...En 2001, il affine sa sensibilité et les sujets choisis, avec une ligne conductrice, un humanisme absolu, marquant le début d’un cheminement et d’une expression personnelle profonde. Ainsi, vous découvrirez, singe, tigre, ours, lion, dans des formats de belle dimension, une étonnante réalité des animaux de la jungle, ( bien tranquilles) les enfants pourront observer le travail de cet artiste situé dans le monde de la peinture animalière.
Jean-Claude Coustillères ( artiste peintre )
Là, l’ambiance est plus calme, les aquarelles de l’artiste sont sur la nature...il peint la magie de la lumière à travers les espaces boisés, emploie des couleurs d’automne ou bien des marines, de vieilles bicoques, des petits villages. Après une formation à l’école des Beaux-Arts…. C’est au bord des ports bretons qu’il croise la route des peintres aquarellistes l’éveillent à cet art, associant les peintres bretons aux peintres toulousains….
Aujourd’hui, il se consacre au quotidien à cette passion qu’il partage et dispense des cours et de stages en atelier et extérieur !
Nadya Louafi ( sculptrice )
Nadya Louafi sculpte depuis 30 ans. Autodidacte, elle est guidée dans ses débuts par Joseph Limousès, qui lui a enseigné les techniques essentielles de modélisation. Elle s’investit totalement dans cette passion, son objectif personnel est de donner vie à ses propres créations.
Elle évoque son inspiration pour la danse, les spectacles de Béjart et le Yoga, comme une source créative, s’interroge souvent si le contraste entre le mouvement et la pose figée d’une statue est compatible.. D’ailleurs on peut voir ses femmes élancées, bras vers le haut, elle sublime le corps, le mouvement ascendant, l’ensemble révèle la beauté du corps féminin.
Elle travaille sans modèle, elle imagine une pose. Elle confie « c’est une bataille contre la gravité, cette force qui tire tout vers la terre. C’est une recherche de l’équilibre... »
L’exposition est à découvrir jusqu’au 27 avril, aux heures d’ouverture du Musée .