Lors de la séance du Conseil Municipal de ce 5 février à 18 heures, le maire Christian Laprébende a confirmé que l’Agence régionale de santé a officiellement doté l’hôpital la d’un scanner et d’un IRM. Cette dotation attendue depuis un an va permettre à l’hôpital d’organiser une filière permettant de répondre aux urgences 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. « C’est une étape importante et une satisfaction. Il ne faudrait pas croire pour autant que tous les problèmes sont résolus. Il s’agit du projet médico-soignant qui devrait déboucher sur des travaux à l’hôpital et sur l’amélioration de l’attractivité de l’établissement en particulier au niveau de la dyalise et de l’installation d’un mammographe », révèle Christian Laprébende.
Autre point dans ce Conseil Municipal qui a tenu une place particulière fut la création d’un centre de surveillance urbaine et le déploiement dans l’espace public de systèmes de vidéoprotection. « La qualité de vie de nos concitoyens passe aussi par le droit de vivre en toute quiétude, sans peur, ni appréhension. […] Il ne s’agit pas de couvrir la ville de caméras qu’il serait impossible de contrôler simultanément, mais de doter notre police municipale d’un outil de surveillance et de dissuasion complémentaire, souple et adaptable à ses besoins et aux besoins éventuels de la police nationale », déclare Christian Laprébende alors que Cathy Daste-Leplus avance : « "L'usage de ce dispositif est strictement encadré par une charte et contrôlé par un comité d'éthique. Son efficacité sera régulièrement évaluée. Son déploiement se fera de manière progressive, transparente et raisonnée ».
Les caméras seront installées au cœur de la ville, aux entrées de la ville et dans les zones d’activités. Le coût de l’installation de la vidéoprotection est évalué à 452 761 € et financé à hauteur de 40% par l’État soit 181 104 €.
La délibération a été adoptée avec 30 voix pour, 3 abstentions et 2 contres.