Salut à toutes et tous et bonne année 2021, en l'espérant meilleure que l’année 2020.
La pandémie a bien sûr été la cause principale des difficultés de cette année.
Elle a touché la santé des gens, en a envoyé certains à l’hôpital, d’autres plus loin…
Elle a bouleversé le quotidien.
Les mesures prises ont écorné sérieusement l’économie : magasins fermés, circulation réduite, couvre-feu à 20 h, autorisations à fournir… Mais le motif était légitime : arrêter le virus
Malheureusement, le virus ne s’arrête pas comme ça.
Alors, on continue à prendre des mesures... Et on commence à vacciner...
Les fêtes de fin d’année ont été des moments difficiles pour les familles qui n’ont pu se retrouver.
Les grandes tablées devant la daube, la dinde et le pastis gascon n’ont pu avoir lieu puisqu’on ne pouvait se retrouver à plus de six à table.
On peut rendre hommage aux jeunes qui, privés des fêtes estivales, ont respecté les interdits et ont trouvé d’autres façons d’occuper leur temps libre.
Les sportifs ont beaucoup souffert : ils n’ont pu préparer la saison et ont été privés de championnat.
De mon côté, la maladie m’a conduit à l’hôpital où je me trouve encore mais j’espère vous retrouver très vite.
Heureusement, Le Journal du Gers a pu compter en mon absence pour la rubrique de Vic-Fezensac sur une « jeune stagiaire » qui n’a pas ménagé sa peine et a su aller au devant des gens pour réaliser des reportages et interview.
Cela risque d’être difficile de reprendre la vie d’avant, de retrouver des habitudes de travail, de plaisir, de contact...
Mais l’homme a une capacité d’adaptation telle qu’il saura repartir de plus belle.
Il va falloir que chacun y mette du sien et surtout qu’en haut lieu, on fasse quelques sacrifices pour que les hommes « de la base » sortent de la précarité – les associations caritatives n’ont jamais été autant sollicitées que ces derniers temps- et retrouvent une certaine sérénité.
A vous tous, une bonne année !
Pierre DUPOUY