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Depuis que les hommes ont découvert Pétrone, ils sont heu-reux ! Et pour cause : du style, de la douceur, une fidélité à toutes épreuves, accessible financièrement qui plus est. Avant de susciter de vives jalousies, précisons que Pétrone est une toute jeune marque de sous-vêtements masculins, créée par Nicolas Hernandez et sa compagne Marion Dubuc.
Pour ce jeune Auscitain, titulaire de deux master (option équipe commerciale et spécialisation dans le luxe), le constat était simple : « Il n’y a pas vraiment de marque de sous-vêtement pour les hommes, comme il y en a pour les femmes, ou alors ils coûtent 40 euros. Je voulais créer une marque élégante, produite en Europe et à prix abordable ».
Une campagne de financement plus tard, la première collection voyait le jour début 2019, avec dix boxers et vingt paires de chaussettes. Déjà, les amateurs étaient au rendez-vous…
Pétrone - en hommage à l’auteur romain du Satyricon, arbitre du bon goût à la cour de Néron -, a su séduire rapidement par son charme sans fioritures, et ses petits détails qui relèvent du vêtement de luxe. Les articles, taillés dans une toile unique alliant coton et Micromodal (une viscose de bois très douce et résistante) sont fabriqués au Portugal, gage d’un savoir-faire de haute qualité.
L’année 2020 avait donc bien débuté, avec de beaux projets et la sortie de nouveautés prévue, lorsque le Covid-19 s’est brutalement invité dans notre quotidien. « Tout s’est arrêté d’un coup, alors qu’on était sur une bonne lancée, confie Nicolas. Les quinze premiers jours ont été effrayants. Puis, l’activité a repris pour finalement s’accélérer lors de la quatrième semaine de confinement. Le dernier jour de nos ventes privées en ligne, nous avons même enregistré un record ».
Slips (plébiscités par les clients) et caleçons étaient proposés en prévente dès le 29 mars, aux côtés de tee-shirts, car cette pièce était à l’origine considérée comme sous-vêtement. Là aussi, l’engouement de la clientèle pour ce basique essentiel de nos tenues actuelles ne s’est pas fait attendre. 
La toile utilisée est légèrement plus épaisse que celle des tee-shirts traditionnels ; le mélange de coton pima (la « soie des Andes »), d’élasthanne et de Micromodal, lui confère, en plus des vertus thermorégulatrices et antibactériennes, douceur, souplesse, au tombé impeccable. La classe minimaliste…
Si Pétrone ne se consacre qu’exclusivement aux sous-vêtements masculins, rien n’interdit les dames de s’approprier cette dernière nouveauté. Soit en la piquant directement dans les tiroirs de leur homme, soit en commandant une taille inférieure dans la gamme des sept couleurs proposées.
Comment Pétrone envisage-t-elle la suite ? « Nous avions prévu d’ouvrir des boutiques éphémères à Paris en juin, juillet, mais cela semble compromis. Nous avons de la chance, par rapport aux commerces traditionnels, de ne pas avoir trop souffert de cette crise grâce à nos ventes en ligne. Nous poursuivons donc sur notre lancée. Les henley - tee-shirts mythiques avec échancrure fermée par boutons ayant traversé les siècles -, feront bientôt leur apparition. Toujours dans l’esprit Pétrone, qui est de proposer un vêtement de luxe, à un prix abordable. D’autant que nous proposons des tarifs dégressifs très avantageux ».
Messieurs, pour rester élégants et raffinés jusque dans les moindres détails, rendez-vous sans plus attendre sur https://petroneparis.fr
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