Au Centre Culturel Espagnol, le vendredi 15 mars, à 19 h 30, comme à l'habitude, une conférence avec comme thème, les disparus du franquisme, les fosses communes.
Le point sur ces dossiers, ce qu'on en sait en 2019.
Animée par par Santiago Mendieta, journaliste, directeur de la revue "Gibraltar".
« Gibraltar », la revue créée à Toulouse en 2013 pour « jeter un pont entre les deux rives de la Méditerranée », offre à ses lecteurs des reportages de grande qualité, des portfolios empreints d’émotion, des dessins, des récits, des fictions aussi
Revue ou « mook » (contraction de magazine et de book), Gibraltar se lit comme un livre. Très illustrée, avec une maquette toujours très réussie, la revue continue son exploration des lieux, mais surtout de leurs habitants sur les deux rives de la Méditerranée.
Le directeur fondateur, Santiago Mendieta, est également rédacteur en chef et animateur de l’équipe réduite qui prépare et imagine Gibraltar Avec un numéro par an, Gibraltar est une revue papier de qualité qui traite du Bassin méditerranéen et des cultures du sud de l’Europe et du nord de l’Afrique. Histoire, sociétés, environnement, problématiques diverses y sont abordés. Un grand soin est apporté aux textes, privilégiant la longueur, les regards pluriels et l’originalité des illustrations : dessin, bande dessinée reportage, photographie… Une approche grand public pour lecteurs curieux et exigeants.
Qualité et indépendance : une revue papier sans publicité
- Un beau magazine-livre aussi bien dans l’aspect (papier épais type livre au noir, caractères très lisibles) qui en fait un objet de garde ou de collection.
- Gibraltar se veut une revue de grande qualité, s’adressant à un public de lecteurs fréquentant les librairies, intéressés par tous les aspects de la culture méditerranéenne et par la lecture.
- Pas de publicité, exceptée la mention des partenaires.
- Une rédaction indépendante des pouvoirs politiques et économiques.
Une anecdote d'importance au sujet de Santiago Mendieta, dans le documentaire « Le silence des autres » de Almudena Carracedo et Robert Bahar qui fait entendre les voix de citoyens espagnols déterminés à se réapproprier leur histoire, est évoquée celle de sa grand-tante et de sa quête pour retrouver son époux disparu en 1939.
Conférence accompagnée avec les tapas habituels.
Adhérents 8 € - Non adhérents 13 €
Inscriptions, avant le 12 mars, au 06 88 60 69 70