Les aficionados ont été les premiers à subir les assauts des "Anti " lors des manifestations taurines.
Ils venaient en masse perturber l’évènement taurin, ce qui imposait la présence des services de gendarmerie et une multiplication de vigiles . Tout cela créait un mouvement d’insécurité chez les visiteurs.
Les chefs de file ont perdu bien des procès, leurs exécutants ont connu parfois des expulsions rigoureuses ( Rodilhan, Maubourguet etc )
Après la tauromachie, ils ont traqué toute vie qui a une charge de tradition (chasse , gavage, élevages de bêtes de viande) et voulu imposer leur manière de vivre .
Taurins, chasseurs, agriculteurs, gaveurs, élus ont démontré qu’ils étaient eux aussi capables de se mobiliser. Ce fut le cas à Mont-de-Marsan, à Auch, pour faire vivre "L’esprit du Sud" .
Le club taurin avait ses représentants, conduits par le président André Cabannes, Bernard Pupin et Marcel Garzelli, animateurs du mouvement à Vic-Fezensac.