Les Festivals ont besoin de vivre

DSCN4689 (2).JPG

Celui des Bandas et Pentecôte à Vic signent une convention de partenariat

Depuis plusieurs années le Festival de Banda et la mairie de Vic partagent du matériel. Depuis cette année le maire Michel Espié et le président Pierre Verduzan ont décidé de franchir un nouveau palier dans la collaboration. Pour cela ils ont décidé de mettre la main à la poche à hauteur de 15 000 euros chacun pour investir dans un premier temps dans des WC mais les deux protagonistes suivit dans leur démarche par leurs collaborateurs respectifs veulent dans l’avenir conforter cette collaboration.

Les arguments pour conforter leur action ne manquent pas. Dans un premier temps « On a besoin de vivre et pour cela limiter les frais de location de matériel avec la mise en commun d’un certain nombre d’infrastructures » les budgets doivent être maîtrisés et les grandes manifestations ont l’obligation cette année d’investir encore plus dans la sécurité. Pour Vic c’est aussi une première avec une enceinte fermée et un droit d’entrée de 5 euros pour les trois jours: « Pour responsabiliser les gens qui viennent faire la fête et leur faire comprendre que tout n’est pas gratuit :  La sécurité de tous et la propreté de la ville ont un coût » explique le maire de Vic. Des prix d’entrée qui se justifient aussi par le confort supplémentaire apporté aux festivaliers avec les WC et les douches. Pour le président Verduzan ce patenariat va permettre de ne pas augmenter le prix d’entrée : « même si pour certains la facilité aurait été d’ajouter 1 euros au prix d’entrée. Une somme que les festivalier pourront dépenser dans les stands des nombreuses associations » qui tirent une recette conséquente qui leur permet de mieux fonctionner tout au long de l’année »

Faire perdurer la fête

Autres arguments, pour maintenir ces manifestations, avancés par les deux acteurs et non des moindres sont la notoriété qu’apportent ces manifestations au département du Gers « Les élus sont là pour l’image du département du Gers à travers les clubs taurins, la musique qui se joue dans les arènes et dans les rues » mais aussi les retombées économiques pour les villes et l’ensemble de l’économie gersoise ; « Pour Pentecôte à Vic et Tempo Latino c’est entre 6 et 8 millions d’euros de retombées sur le département » souligne le maire de Vic et tous les deux d’en appeler à la solidarité de tous les commerces « pour faire perdurer la fête ».

DSCN4691.JPG
DSCN4691.JPG
DSCN4694.JPG
DSCN4694.JPG
Publicité
Suggestion d'articles
Suggestion d'articles