À plus de soixante reprises, toujours avec le sourire, Macha Méril a apposé sa signature sur son nouveau roman.
Effectivement, cmme il était annoncé, Pascal Licari a eu l'immense plaisir de recevoir Macha Méril, ce samedi 25 juillet, à partir de 10 h, dans sa librairie, au 31 rue Gambetta.
Depuis le pas de la porte de son magasin, il a pu apprécier combien son initiative d'inviter Macha Méril à venir parler de son nouveau roman avait été appréciée.
Une matinée splendide et ensoleillée, après les dédicaces, un moment attendu par tous ses admirateurs présents, la discussion a pu se poursuivre de l'autre côté de la rue, à l'abri du soleil.
De quoi ont-ils bien pu parler ? Pas forcément, littérature mais sans aucun doute, théâtre. Macha viendra-t-elle voir Victor jouer lors du prochain spectacle de la Boîte à Jouer, "En scène, place aux artistes", le mardi 28 juillet, au Cloître de Condom ?
Mais Macha Méril, installée depuis environ vingt ans dans le Gers dont elle ne manque pas de vanter la douceur de vivre, était bien là pour évoquer son nouveau roman qui vient de paraître aux éditions Liana Levi.
"Vania, Vassia et la Fille de Vassia", encore un roman qui entremêle habilement souvenirs de sa propre enfance et grands épisodes politiques du XXe siècle. Son destin personnel de fille d’émigrés russes en France réclamait un ouvrage. Mais finalement plutôt qu'un livre autobiographique, elle a eu l’idée de raconter l’histoire d’une fille de cosaques. Elle a des amis descendants de cosaques en France, leurs parcours pittoresques l’ont toujours fascinée.
Un court résumé pour vous donner envie d'en découvrir plus ... 340 pages à lire sans modération !
Vania, Vassia et Sonia, la fille de Vassia, les trois personnages de ce flamboyant roman, sont en quête d’un avenir qui les réconcilie avec leur passé de Cosaques. Cependant chacun lit cet avenir sous un angle différent : s’intégrer en France avec un impeccable parcours, rester russe tout en défendant la République française, reprendre coûte que coûte le combat contre Staline, quitte à se ranger du côté des nazis…
Photos Marc Le Saux