Le bio évolue dans le canton de Marciac

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Le bio n'est pas un long fleuve tranquille

photo 1 le bureau de la réunion présidée par Christophe Garroussia avec à ses côtés Jean Arino de la chambre d'agriculture du Gers, Jean Rimbaut de Terres Inovia et Benoit Bolognési d'Agribio union

Sous l'impulsion de Christophe Garroussia référent agriculture biologique à la Chambre d'Agriculture du Gers ce mode de culture propre s'implante dans le gers puisque 1200 agricultuteurs s'y sont convertis,représentant 7000 hectares. Cette culture propre est en acord avec les attentes de consommateurs et de la société en général. Christophe fait le pari que d'ici mai 2019, 1/4 des agriculteurs du Gers auront rejoint le mouvement.. Un  agriculteur a retouvé l'espoir de vivre du métier en accord avec les attentes de la société.

Le bio n'est pas un long fleuve tranquille et techniquement tout n'est pas acquis. Aujourd'hui ls agriculteurs se penchent sur une production très déficitaire en France: le colza. Le matin en salle,il a  été beaucoup question de techniques et de débouchers. Les aides à la culture Bio ont été largement évoquées ainsi que la régularité de leurs règlements. Le retard dans le paiement des aides 2015 er 2016 fait que les conversions à l'agriculture biologiques s'essouflent par manque de visibilité

 L'après-midi sur l'exploitation de Christophe la trentaine d'exploitants présents ont pu assister à des essais de matériels tels que les bineuses,écrouteuses, herses étrilles rendus indispensables pour obtenir une production propre avec des rendements convenables. Le but est de remplacer par ces nouveaux modes de culure les traitements chimiques souvent dangereux pour l'agriculteur et les consommateurs..

 

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