Depuis 2011, en faisant disputer un challenge portant son nom , le PAS entretient le souvenir de Maurice Médous , l’un de ses plus anciens joueurs , disparu en 2010, quelques mois après son épouse, Une minute de silence a précédé la rencontre à laquelle participaient plusieurs membres de sa famille venus pour certains de très loin, dont trois de ses filles Mylène, Anne-Marie, Viviane et leurs enfants ainsi que Françoise , sa nièce, tous touchés mais aussi fiers que ce souvenir persiste malgré les années. Une photo posée près du trophée a tenu compagnie à tous ceux qui voulaient se souvenir de Maurice comme pour ceux qui ne l‘avaient pas connu, C’est sous un beau soleil, que les 19 équipes se sont rencontrées sur le parking de la halle., dans un bel esprit de convivialité. Cette année encore, seules les équipes ayant un joueur licencié au PAS pouvaient disputer le trophée. Pour la prochaine saison , un nouveau règlement a été instauré quant à la composition des équipes
Concours principal avec attribution du challenge :
Le trophée a été remporté par Zaina Elie (le P.A.S), Dulau Marcel (Cézan) et Benoit Bosque (Pontacq Taillebourg) devant Fortin Daniel (Le P.A.S) , Delos Henri (Valence sur baise) et Populy Manu (Orbessan)
Concours complémentaire :
Smara Michel (le P.A.S),Vidalis Guy (Peyrusse Grande) et Domercq Francis (Marciac) ont battu Esclassan Francis (le P.A.S), Lajous Robert (Pontacq Taillebourg) et Burgan Pierre (Peyrusse Grande)
Consolante :
Persoglia Jeanine (Le P.A.S) Belloc Marcel (Peyrusse Grande) et Mothe Alain (Orbessan) vainqueurs devant Fertin Solange (Le P.A.S), Odorico Emile (Cezan) et Laffont Jacques (Peyrusse Grande)
Concours local :
Bajon thierry (Le P.A.S) ,Pegorer Chrsitan et Deveze Michel Peyrusse Grande) ont battu MIchel Persoglia (Le P.A.S),Pujos Roland (Orbessan ) et Castello Vincent ( Cézan)
Les gagnants du trophée de l’année dernière ont été éliminés au deuxième tour
Toujours handicapé par ses problèmes de santé, Jean-Louis Barthe, vice-président du PAS et ami de la famille Médous a dû se contenter d’arbitrer la finale