Le groupe Occitanie courageuse et son Président Aurélien Pradié dénonce la situation financière régionale.

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Les élus régionaux du groupe Occitanie courageuse et son Président Aurélien Pradié dénoncent à l’examen du debat d’orientations budgétaires une dette qui ne cesse d’augmenter ainsi que la masse salariale et les dépenses de fonctionnement .

Communiqué de presse

Lors de l’Assemblée Plénière du 16 novembre 2023, Romain Giral, conseiller régional du Groupe Occitanie Courageuse a pointé du doigt la situation financière régionale.
Désormais, la Région accuse quasi systématiquement du retard dans le versement des subventions, et ce jusqu’à plus de 2 ans pour certaines communes et associations. La situation est alarmante et la Région Occitanie devient défaillante.

De nombreuses collectivités alertent sur ces retards de paiement. En outre, tous les maires et présidents d’intercommunalité font le constat de dossiers refusés, recalés par des changements de critères d’attribution en cours de route.
L’élu de la droite et du centre a également relevé d’autres craintes :  

La dette continue de s’envoler, atteignant aujourd’hui 562 € par habitant, et portant la capacité de désendettement de la Région Occitanie à 1,3 point audessus de la moyenne nationale.
La masse salariale et les dépenses de fonctionnement pèsent toujours plus sur les finances régionales. Il a appelé la Présidente à baisser drastiquement, les dépenses de communication et les aides au titre de la coopération internationale, bien éloignées des compétences régionales.

A noter que l’augmentation de la taxe régionale sur la carte grise ne semble pas rapporter les recettes espérées. La droite régionale s’était vigoureusement opposée à cette fiscalité ciblant toujours plus les automobilistes.
Le Groupe Occitanie Courageuse, présidé par Aurélien Pradié, fait le voeu solennel d’une réelle amélioration de ce fonctionnement et d’un raccourcissement des délais de paiement, sans quoi la Région ne sera plus considérée comme un échelon de poids et de confiance dans l’accompagnement des acteurs locaux.

La parole compte. Carole Delga n’a plus les moyens de ses démagogiques promesses électorales.

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