Il y a eu un an jeudi 10 décembre que Claude Dartigaux, victime d'une crise cardiaque, quittait pour toujours sa famille et ses innombrables amis. Il faisait partie d'une fratrie de sept enfants trois filles Josette, Monique, Michelle et quatre garçons Christian, Jacques, Claude et Gilles,trois d'entre eux ont été de vaillants et talentueux joueurs de l'US Plaisantine. Claude était un roc, toujours généreux, disponible, prêt à aider les autres, sans se soucier de ses problèmes de santé, persuadé que tout irait mieux le lendemain. Mais le 10 décembre 2014, il n'y eut pas de lendemain, inquiet de son silence téléphonique son fils Pascal le retrouvait mort, au milieu de son troupeau de vaches, qu'il était parti soigner.Claude, cadet de Christian (champion de France en 1980), de Jacques, aîné de Gilles, avait été par sa vaillance, sa générosité, son ardeur au combat, sa férocité défensive, l'artisan de la montée de Plaisance en troisième division, en 1982, face à Nérac, sur le terrain de Montréal.
Claude était parti pour toujours, laissant seuls, orphelins même, sa proche famille, son petit-fils Maël, ses innombrables amis du sport et de la vie. Tous pleuraient un garçon franc et généreux, dont le souvenir ne s'effacera pas de sitôt.
Ses trois frères sont fidèlement présents lors des rencontres au terrain des arènes, car ils viennet soutenir les Dartigaux de la génération suivante « jaune et noir » eux aussi : Pascal, Charles, Julien, Florent et Joris Saint-Martin, fils de Michelle Dartigaux, la plus jeune des sœurs, tous porteurs des vertus de ceux qui les ont précédés.
Lundi matin en l'église de Mondébat une messe était célébrée a sa mémoire, autour de sa maman toute la famille était rassemblée, beaucoup d'habitants du village étaient présents, des amis, des joueurs de sa génération, des dirigeants de l'U S Plaisance. Ambroise Koutouan prètre du secteur paroissial a su trouver les mots justes en l'église et au cimetierre pour honorer et entretenir sa mémoire . Claude demeurera dans le coeur de tous.
Marcel Lavedan
