Premier roman auto-édité pour Laurence Sellin : « L’affaire de la Rue Soufflot : Entre méprise et emprise. »

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Un roman psychologique haletant tout en suspense et en rebondissements

Crédits photo : Pierre Léoutre

Laurence Sellin a cinquante ans. Elle vit à Lectoure dans cette belle ville d’art et de culture du Gers, mais pas toujours facile d'accès pour les personnes à mobilité réduite (PMR). Diplômée de l’Institut d’Études politiques de Toulouse et de la faculté de droit de Grenoble, elle est transcriptrice de réunions juridiques en freelance. Son premier roman d'une série en trois volets, un thriller psychologique," L’affaire de la Rue Soufflot : Entre méprise et emprise." . L'auteure a même créé une maison d'édition Editions Polar Impulse dont le siège social est  à Lectoure afin d'auto-éditer ses propres ouvrages.

Ce polar, dont la plume est un pur plaisir, a été publié le 28 décembre 2022. L’intrigue se déroule à Paris.

 Paris, septembre 2017.

Alors que la police judiciaire déménage du centre de Paris vers le quartier des Batignolles, dans le XVIIème arrondissement, Lauriane Émans, une étudiante en master de droit à la Sorbonne, est sauvagement agressée à son domicile de la Rue Soufflot.
Elle ne sera sauvée in extremis que grâce à l’intervention de l’un de ses ambulanciers, Pierre Dobriac. Cependant, quelques jours après avoir effectué ce sauvetage d’urgence, ce dernier disparaît, sans que personne, dans son entourage, ne soit en mesure d’expliquer cette situation, rapidement qualifiée de « disparition inquiétante » par les enquêteurs.Ces deux faits divers seraient-ils liés ? C’est ce que va devoir découvrir l’un des groupes d’enquête du troisième district de police judiciaire, compétent sur le secteur de la Rue Soufflot, ainsi que sur celui du domicile de l’ambulancier, situé Rue Delambre. Or, en raison d’un fâcheux concours de circonstances, au sein du troisième DPJ, un jeune officier de police
judiciaire, Yanaël Marceau, fraîchement diplômé de l’École de police, se retrouve en première ligne pour mener à bien cette double enquête, au cours de laquelle aucune épreuve ne lui sera épargnée. En effet, la principale victime, Lauriane Émans, étant une personne à mobilité réduite qui, malgré son handicap, menait de front et avec courage de multiples activités, ce fait divers, en raison de sa nature peu habituelle, agite le monde médiatique et émeut jusqu’aux plus hautes sphères du pouvoir politique. La pression ne va donc pas cesser de s’accentuer sur les épaules de ce jeune et inexpérimenté lieutenant de police.
De plus, les traditionnelles investigations policières ne conduisant à aucune piste tangible, Yanaël Marceau va rapidement se rendre compte que tout ce qu’il a appris à l’École de police ne s’avère d’aucune utilité pour résoudre cette enquête hors norme qui va le conduire dans les tréfonds de l’âme humaine. Il n’en ressortira pas indemne.
Et Vous, chers lecteurs, en ressortirez-vous indemnes ? Ce n’est pas certain

Crédits : Texte quatrième de couverture : Laurence Sellin

Ce thriller est ciselé au scalpel. L’intrigue tient en haleine grâce à de multiples retournements de situation . Il explore cette frontière entre victimes et coupables et plonge le lecteur dans le mental des personnages.

(EXTRAIT)

LE SOIR MÊME de l’agression dont avait été victime Lauriane Émans, le Procureur de la République de Paris avait pris connaissance du rapport du médecin du SAMU qui avait succédé aux pompiers sur la scène de crime, ainsi que du rapport du médecin qui l’avait examinée dès son arrivée aux urgences médico-judiciaires. Devant la gravité des faits, le Parquet avait ouvert une enquête de flagrance pour tentative de meurtre sur personne vulnérable et actes de barbarie par dégradation de biens appartenant à une personne vulnérable. Les faits ayant eu lieu dans le cinquième arrondissement, l’enquête relevait de la compétence du troisième DPJ.

Informé de ces faits pour le moins inhabituels par le ministre de l’Intérieur, dans la nuit, le président de la République avait publié un tweet afin d’exprimer « le soutien du peuple français à la famille de la victime de ces actes ignobles qui déshonorent les valeurs de notre République ».

Ce matin-là, lorsqu’il fut réveillé à 7 heures, par la matinale de Radio Classique, Yanaël fut aussitôt replongé dans l’affaire sur laquelle il était intervenu la veille : celle-ci tournait en boucle dans tous les médias, à l’exception de la presse écrite quotidienne qui avait déjà bouclé l’édition du lendemain, lorsque cette information était tombée dans les salles de rédaction, à 23 h 50, en provenance du service de presse du pôle judiciaire des Batignolles.

Cette affaire, désormais communément appelée l’affaire de la Rue Soufflot, déchaînait les passions : devant chaque micro tendu par une station de radio, ou par une chaîne de télévision, un analyste qui s’était autoproclamé spécialiste police-justice se perdait en conjectures sur les raisons ayant pu motiver la commission d’actes aussi barbares sur une personne aussi vulnérable.

 


  • Crédits illustration de la première de couverture : Nathalie Glévarec


Ce livre est disponible sur Amazon . L'affaire de la Rue Soufflot: Entre méprise et emprise

Contact : Laurence SELLIN - Editions Polar Impulse - 6 Bis, Rue Nationale - 32 700 LECTOURE - FRANCE - Email :

[email protected]

 

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