Jean-Luc Yelma candidat aux sénatoriales

Logo Rassemblement national.JPG

Le candidat explicite ses choix

Porter la voix des élus locaux telle est l'ambition de Jean Luc Yelma, conseiller régional Occitanie (Membre de la Commission permanente), conseiller communautaire de Coeur d'Astarac en Gascogne et conseiller municipal de Miélan. Il a pour suppléante Béatrice Duclos., 

Communiqué adressé aux grands électeurs qui s'exprimeront le 27 septembre.

Le 27 septembre, vous devrez choisir un représentant de notre territoire au Sénat. Votre vote est décisif en cette période où les citoyens désirent renouer avec la proximité et les circuits courts. Je suis votre candidat dans le département. Soutenu par le Rassemblement National, je veux porter la voix de nos élus locaux à Paris où le Sénat n'a offert que trop peu de résistance au gouvernement d'Emmanuel Macron. Je veux porter votre voix face à des élites trop déconnectées des réalités locales qui, à droite comme à gauche, rêvent toutes d'être recyclées dans les gouvernements d'Emmanuel Macron.

Le mouvement des Gilets Jaunes était, en ses débuts, une révolte du local, une manière de dire que nous ne voulions pas être étouffés par des politiques qui éteignent de plus en plus le lien entre les maires, les élus locaux et l'ensemble des Français. Emmanuel Macron n'a pas entendu cet appel et pire, s'est enfermé dans un dialogue avec la France périphérique rythmé par le mépris et l'arrogance. La crise du coronavirus a montré que malgré l'indifférence du pouvoir, les élus locaux ont tenu bon. L'échelon local a été le niveau qui a le mieux protégé les Français. Quand le gouvernement s'obstinait soit dans le déni, soit dans la désorganisation, les maires et élus locaux ont su répondre à l'urgence.

Pour toutes ces raisons, je veux, par ma candidature, faire revenir au Sénat des forces de défense de nos territoires et une véritable force de proposition et d'opposition face au détricotage territorial.

Aujourd'hui, seul le Rassemblement National promeut le localisme et l'harmonie territoriale. Ses engagements sont des voies essentielles au redressement de notre pays. J'en ai l'intime conviction : l'avenir de la France passera par le rééquilibrage territorial et la possibilité enfin donnée aux territoires et aux zones périphériques de gérer leur avenir, de défendre leurs entreprises locales et de ne plus être dépendants de la seule volonté de l'État ou de la métropole voisine

Publicité
Suggestion d'articles
Suggestion d'articles