Ce vendredi soir, Francis Idrac, avait réuni son conseil pour le mois de février.
Seulement deux conseillers non excusés , Jean-Hubert Rougé et Mélanie Bourgeois.
L’ordre du jour (voir présentation dans article du 2 février présenté par J-L.Davezac) a été respecté avec un point ajouté N° 27 sur les subventions CCAS.
Le procès verbal de la séance précédente a été adopté à l’unanimité, de même que l’ensemble des points évoqués.
Il a été rappelé qu’au 1er janvier 2015, la commune comptait 8810 habitants (dont 242 personnes hors ville) et que l’on peut penser que la barre des 9000 habitants a été passée au 4 janvier 2018. (A noter : chiffres prévisionnels communiqués par l’INSEE font état de 9184 habitants au 4 janvier 2018).
Le maire a rappelé que pour 2018, il devrait y avoir un gel, mais pas de baisse des dotations et que grâce à la participation des communes de la CCGT pour divers domaines, la situation devrait être équilibrée.
L’adjoint aux finances, Fabien Vazquez, a tenu à féliciter les services comptables pour leur excellent travail. Il a reconnu que la situation de la commune était difficile et qu’il était indispensable d’améliorer les perspectives. A savoir ajustement des dépenses de fonctionnement avec augmentation ou non de la fiscalisation.
Intervention de Jacques Dupré qui a souligné que malgré un bon travail, l’endettement était un souci, et qu’il fallait être attentif pour les investissements, mais qu’une augmentation du foncier ne serait pas réaliste, vu qu’il est déjà haut, pour la commune.
Le maire a répondu que la rigueur serait entérinée, mais qu’effectivement le foncier était déjà haut et que par conséquent il faut limiter l’accroissement de la population à maximum 10000 ou 10500 habitants pour les prochaines années, vues les infrastructures qui seraient sinon totalement obsolètes.
Christine Ducarrouge a souligné que c’était une bonne chose que les maires des autres communes de la CCGT, participent aux subventions des associations et qu’au niveau du Conseil Départemental, elle suivrait ces aides, et qu’elle était aussi pour une stabilisation des impôts.
Jean-Marc Verdié a confirmé que les membres des associations, s’ils n’étaient pas lislois et hors CCGT, devaient payer plus et que chaque club ou association devrait pouvoir déterminer quels sont leurs membres extérieurs.
Au niveau des questions diverses, Christine Ducarrouge a pris la parole notamment sur le sujet de l’élargissement d’un passage à niveau et de la route y menant. Le responsable des travaux (Faure) a fait savoir que la SNCF prenait à sa charge l’élargissement du passage à niveau.
Au niveau des compteurs Linky, Francis Idrac a fait savoir que la mairie n’avait aucun pouvoir pour décider ou non d’un refus. Chacun est libre, mais si le compteur est externe, il sera changé d’office et s’il est interne, il faut bien entendu donner son accord à Enédis, pour que l’entreprise ou un sous-traitant puisse pénétrer chez le particulier. Il a ajouté de faire tout de même attention, pour risques de frais énormes, si les gens ont refusé, et qu’il y a, par la suite, des travaux à faire sur un ancien compteur.
Régine Sainte-Livrade a évoqué le problème de destructions des toilettes publiques et Francis Idrac dans ce domaine a parlé aussi de la nouvelle mode des panneaux arrachés ou permutés.
Corinne Réa-Minvielle a posé la question de la piste d’athlétisme. Les études seront réalisées au cours de l’année 2018, pour une réalisation en 2019.
Jacques Andreetta a soulevé le problème de la Maison Commune Emploi Formation. Il a été répondu que personne ne perdrait d’emploi et que les employés, en cas de changement, deviendraient des fonctionnaires locaux.
En raison de la nouvelle année, le maire a invité les participants à la célébrer, en partageant le verre de l’amitié, accompagné de petits gâteaux secs.