Mis à jour le 10.05.2017.
Vendredi 5 mai, Francis Dupouey, vice-président du Conseil départemental et candidat aux législatives, vient voir où en est le chantier d’extension de la mairie et de l’école. Chantier qui a donc déjà commencé. Il est accompagné de Jean-Sébastien Massenez, directeur du cabinet du président du Conseil départemental (CD) et de Samuel Massenez, conseiller en charge des établissements d’enseignement audit cabinet. Le maire, Jean Marie Verrier, a reçu les visiteurs en compagnie de Jean-Pierre Pujol, ancien président du CD – une surprise agréable – et de plusieurs conseillers municipaux, ainsi que d’une enseignante, Christine Carrère-Campistron.
Priorité aux investissements dans les écoles
Les trois visiteurs ont voulu manifester la priorité que le CD apporte aux municipalités qui investissent dans leur école.
Le maire et son conseil ont pris la décision de lancer ce projet d’extension très onéreux pour une petite commune (400 000 euros), d’abord parce que le RPI (Regroupement pédagogique) est dynamique, que l’équipe enseignante est motivée et transmet ses connaissances en utilisant les nouvelles techniques de communication et d’information. Et aussi parce que les perspectives démographiques sont encourageantes.
Le bâtiment où logent la mairie et l’école va être bouleversé. L’école aura un hall d’accueil, une nouvelle classe et une nouvelle cantine et la mairie recevra une nouvelle salle du conseil municipal.
Soutien financier confirmé
Francis Dupouey a confirmé à Jean-Marie Verrier – qui avait demandé l’aide du CD - que le président Philippe Martin soutiendrait ce dossier personnellement auprès de Carole Delga, présidente de la Région Occitanie. La commune peut donc espérer, qu’en plus des 30 % du coût des travaux alloués par l’État (99 000 euros) avec la DETR (Dotation d’équipement des territoires ruraux), elle recevra des crédits du département et de la Région. Compte tenu de la récupération de la TVA (les 400 000 euros sont le coût TTC), le maire espère que ces aides ne laisseront qu'environ 100 000 euros - ou moins - à la charge de la commune.
Francis Dupouey conclut : « Le projet d’Arblade-le-Haut est emblématique de l’importance que revêt l’école dans les communes rurales qui ont la chance d’avoir préservé ce service public. Pour une petite commune, 400 000 euros, c’est beaucoup d’argent. C’est un signe de confiance dans l’avenir qui honore le maire et son conseil ».