L'été est meurtrier a Plaisance

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Jacqueline Dupuy et Michel Lagisquet nous ont quitté

L'été est meurtrier à Plaisance , Bernard Bonnecarrère est parti le premier et une semaine a peine plus tard c'était le second cataclysme avec la disparition de Jacki Fourcade.       Mardi après midi c'est une personne plus âgée Jacqueline Dupuy que sa famille et ses amis ont accompagnée jusqu'à Couloumé d’où elle était arrivée en 1974.  Elle était née Fréchou a Ladevèze-Rivière avant d'habiter Saint-Aunix jusqu'à son mariage avec Gérard Dupuy et de vivre alors "Au Couloumé" .En 1974 le couple arrivait a Plaisance avec leurs deux filles Maryse et Viviane dans une grande maison de la rue Adour .La générosité, la droiture faisaient partie de leurs qualités la serviabilité avec le voisinage également .Devenue veuve en 2003 Jackie se consacrait a des activités associatives a des parties de belote avec ses amies a d'immenses repas de famille ou tous se retrouvaient. . La maladie l'a rattrappée , elle n'a pu s'en remettre 

Nouvelle triste nouvelle encore survenue dimanche la disparition brutale de Michel Lagisquet. Il était né à Plaisance le 18 janvier 1942 au restaurant "La Pergola" que gérait sa maman. Son père Auguste était né à Marciac, il était transporteur, entrepreneur de travaux, capitaine des pompiers de Plaisance. Michel avait fréquenté l'école de Plaisance, le lycée Coustère à Vic-Bigorre. Il prenait la suite de son père dans le transport à Plaisance, quelques problèmes relationnels avec son personnel le poussaient à partir se perfectionner à Marseille avant de travailler à Paris jusqu'à sa retraite dans une grande entreprise de déménagement. Marie à Jeanette infirmière le couple avait deux enfants Philippe et Annick. À leur retraite ils s'installaient à Marciac ou Joseph le grand-père de Michel était arrivé de Salies du Béarn pour réparer le clocher, il avait connu, épousé Marie Paris de Saint Justin. Les origines étaient donc doubles entre les deux bastides voisines. Comme tout jeune Michel avait joué au rugby à L'U S Plaisance, a Paris c'est à Boulogne-Billancourt qu'il avait été dirigeant bénévole. À Plaisance il faisait partie des historiques des Esbouhats, de la Peña Vivement Cinq heures et des Amis du Lartet. Des problèmes de santé l'avaient atteint, veuf depuis 14 mois, malgré cela il demeurait fidèlement présent auprès de ses nombreux amis Plaisantins qui tous le pleurent et qui seront nombreux a l'accompagner jeudi a Marciac ou auront lieu ses obsèques.
 

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