Tels de jeunes et dynamiques cadres, sans doute le duo le plus jeune de ces élections législatives dans le Gers, ils se lancent avec enthousiasme à la rencontre des Gersois de leur deuxième circonscription. Maëva Bourcier, 31 ans, habitant Polastron, ex-collaboratrice parlementaire du député gersois Jean-René Cazeneuve et ancienne coordonnatrice de réseau des Jeunes Agriculteurs 32, sera accompagnée d’Alexandre Arlin, 27 ans, habitant Castelnau-sur-l’Auvignon et Paris, il est chef de cabinet du Haut conseil de l’évaluation et de la recherche de l’enseignement supérieur, HCERES.
Avant qu’ils ne dévoilent les points forts de leur programme, ils mettent en avant « la clarté de leur projet par rapport à NUPES et Divers gauche, nous sommes les seuls qui peuvent apporter quelque chose à la circonscription comme l’a fait Jean-René Cazeneuve pour la première circonscription qui a bénéficié durant ces cinq dernières années de l’engagement d’un député LREM ». Et d’ajouter : « Ce qui a manqué à la deuxième circonscription c’est la courroie de transmission entre les élus du territoire et la politique nationale, c’est le rôle du député à savoir un travail de médiation qui doit se répercuter sur le terrain ».
Alexandre Arlin pour sa part tient «combattre pour les inégalités au niveau territorial car il n’est pas normal qu’au 21ème siècle d’avoir moins de chances de réussite dans les études en milieu rural. La solution peut passer par les campus connectés, un projet en partenariat avec les universités qui est une formation à distance pour mettre un pied dans l’enseignement supérieur ».
Maëva Bourcier rappelle que les premières lois qui seront votées par LREM s’il y a la majorité, porteront sur le dégel de point d’indice des fonctionnaires, les pensions de retraite à 1 100 €, le versement à la source des prestations sociales… D’autre part Maëva Boucier tient à s’impliquer dans les nombreux défis en agriculture, elle soutiendra notamment le projet d’abattoir à Condom pour éviter les surcoûts liés aux transports des animaux hors du département, la création d’un pôle viande pour la formation car il manque des bouchers.
Et enfin Maëva Bourcier affirme « que dans le Gers ont doit créer des lacs collinaires en concertation avec les agriculteurs, les riverains et les associations et bientôt va se poser aussi le problème de l’eau potable ».
Les principales mesures sont à retrouver sur https://maeva-bourcier.avecvous..fr/manifesto