« C’est aujourd’hui le démarrage de notre campagne des législatives », révèle Jean-René Cazeneuve ce mercredi 11 mai lors d’une conférence de presse tenue en début d’après-midi à l’hôtel de France. Le député de la 1ère circonscription était accompagné de Maëva Bourcier, candidate dans la 2ème circonscription. Tous les deux sont réunis sous la bannière « Renaissance» pour d’une part apporter leurs soutiens au président de la République et d’autre part « pour s’engager dans un projet de justice sociale qu’on doit porter dans le Gers », souligne Maëva Bourcier.
Cette dernière précédemment attachée parlementaire auprès de Jean-René Cazeneuve, mère de famille, âgée de 30 ans, issue de la « méritocratie citoyenne », celle-ci a connu plusieurs expériences professionnelles, elle a notamment travaillé dans le monde la santé, Ehpad, et des agriculteurs comme coordinatrice du réseau des Jeunes agriculteurs du Gers. Maëva Bourcier d’ailleurs se montre fort intéressée par les questions agricoles où elle compte bien s’investir comme sur la loi Egalim pour une meilleure rémunération des agriculteurs, la gestion de l’eau, « Il faut agir maintenant » … Mais elle conclut en affirmant que « le monde entier envie l’agriculture française ».
De son côté Jean-René Cazeneuve avoue « d’avoir été fier de représenter les gersois et les gersoises à l’Assemblée nationale et d’avoir eu beaucoup de plaisir à les rencontrer » mais il regrette que « les crises, Gilets jaunes, Covid, guerre ukrainienne, n’ont pas permis de faire ce qu’on pouvait faire ». Malgré cela le député reconnaît qu’il est « content d’avoir accompagné et débloqué les projets du territoire, tels la RN 124, la réhabilitation des hôpitaux, le numérique, le Parc Naturel Régional de l’Astarac… Ce sont 150 millions d’euros qui ont été débloqués pour le compte des investissements ». Toutefois, Jean-René Cazeneuve avoue qu’il faut faire plus pour le Gers « Départemental rural qui n’est pas au niveau de développement qu’il devrait connaitre sur le plan économique et culturel ».
Enfin, Jean-René Cazeneuve rappelle « qu’il ne faut pas se tromper d’élection où les blocs extrêmes droite et extrême gauche proposent des programmes ambigus. Le seul sans ambigüité, Renaissance, porte les valeurs fondamentales de la République, du respect de la laïcité, son attachement à l’Europe, et sur les énergies renouvelables ».