Le square "Jean-Louis Quereilhac" inauguré dimanche

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Un événement suivi par de très nombreux participants

Jean-Louis Quereilhac décédé le 25 juillet 2018, trois jours après avoir franchi le cap de ses quatre-vingt-dix-sept ans, avait été élu en 1947, à 26 ans, maire de Plaisance.

Il allait le rester jusqu'en 1989, longue période de quarante-deux années, durant lesquelles il allait donner toute la mesure d'un talent de visionnaire, de gestionnaire, bien dans la lignée des "grands maires" qui avaient dirigé Plaisance avant son arrivée.

Les réalisations effectuées sous son règne avaient été rappelées - dans l'article du 25 juillet 2018 - lors de l'annonce de son décès.

Une des plus importantes l'avait été dans le final de son parcours quand il avait porté à bout de bras l'immense projet "Fond Intervention Culturel" qui avait permis de doter Plaisance du grand orgue dans l'église rénovée, d'effectuer la réhabilitation complète d'une belle maison de la bastide originelle pour en faire une bibliothèque - syndicat d'initiative, de créer une nouvelle salle de cinéma dans l'ancienne "Salle Jeanne d'Arc" de l'école libre.  

Il avait, durant le même temps, été élu de 1949 à 1992 conseiller général, vic- président un temps, ses qualités identiques en avaient fait un leader charismatique de l'assemblée départementale.

Règis Soubabère, maire de Plaisance, a été le premier intervenant lors de l'hommage rendu, Alain Lagors qui parlait au nom de Gérard Castet excusé a suivi, puis Yvon Montané, compagnon de route de Jean-Louis au Conseil Général.

Le général Meille qui l'avait connu plus tard, avait évoqué avec lui la douloureuse période S.T.O, et a rappelé leurs conversations.

Cathie Costes, fille de Jean-Louis, maire-adjoint de Plaisance, a placé l'hommage dans une autre dimension, elle a parlé de l'homme qu'était son père gouailleur, aventureux, qui allait toujours au bout de ses idées bien soutenu par son épouse Madeleine, fidèle compagne d'une vie.

Jean-Louis avait beaucoup écrit durant ses parcours et pour résumer et expliquer son père, sa fille invitait Jean-Luc Samson à lire quelques pages du livre "Un Tel Maire" honoré du prix Scaron pour clôturer sur une note humoristique.

Il ne restait qu'a dévoiler la plaque sous les applaudissements d'un immense public d'amis, de parents, de tous ceux qui avaient aimé Jean-Louis.

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