VENDREDI 28 JUILLET 2017
COCKTAIL MÉTISSÉ
La recette :
• Prenez un grand shaker, les arènes de Vic
• Versez une bonne dose de Calypso, de Trinidad et Tobago
• Ajoutez l’essentielle saveur d’Afro-Latino de Douala au Cameroun
• Saupoudrez de rythmes Reggae et Afro-Cubain
• Secouez et chaloupez fortement pour obtenir un cocktail unique de Caraïbes/Afrique
Ce « Nectar » est labellisé création originale pour soirée unique. Une soirée où nous voulons proposer au public un plateau musicalement cohérent, une fusion entre deux artistes qui puisent dans leurs racines africaines pour nous raconter leur histoire, l’origine de ces rythmes et nous rappeler l’universalité de la musique.
CALYPSO ROSE, LA JOIE DE VIVRE À L’ÉTAT PUR
Vendredi 28 juillet / 21h
Dans la lignée des 24 éditions du festival qui ont présenté Compay Segundo, Celia Cruz, Toto La Momposina, Omara Portuondo, Ibrahim Ferrer et tant d’autres, Tempo Latino a tenu à programmer, une nouvelle fois, une personnalité emblématique du chant et de la scène, de par sa générosité et ses engagements sociaux, l’indomptable et irrésistible Rose du Calypso : CALYPSO ROSE.
Après 60 ans de carrière, plus de 800 chansons et 20 albums à son actif, McCartha Linda Sandy Lewis, est la reine incontestable du Calypso. Ses chansons pleines d’énergie et de gaieté expriment avec une immense sensibilité des réalités plus profondes : les inégalités des droits entre les hommes et les femmes, les violences conjugales, les injustices sociales. Elle rencontre Manu Chao chez elle à Trininad et Tobago, séduit par sa vitalité et sa ténacité, il produit son dernier album «Far from Home». Ce dernier a été recompensé par le prix du meilleur album de Musiques du Monde aux victoires de la musique 2017.
RICHARD BONA & MANDEKAN CUBANO
LE SURDOUÉ DE DOUALA
Vendredi 28 juillet / 23h
Né au Cameroun en 1967, Richard Bona, génie de la basse reconnu par les plus grands artistes du monde entier et que l’on ne présente plus, continue inlassablement à rayonner. En quête de nouveauté et de découverte, il a effectué de nombreux voyages à travers le monde afin d’enrichir son travail musical avec de nouveaux rythmes, de nouvelles couleurs, de nouvelles tonalités.
C’est avec un ruissellement de percussions et de cuivres et avec la formation Mandekan Cubano que l’artiste a sorti son nouvel album, « Héritage » : c’est trois ans d’attente discographique et voici un cocktail afro-latino détonnant pour le retour du «surdoué de Douala». C’est le battement éclatant de l’universalité de la musique. Cet album est bien un manifeste pour guider celui qui s’efforce d’être à l’écoute de la beauté qui l’entoure; celui qui entend affirmer la fidélité aux racines tout en s’ouvrant aux richesses de ce que nous apprenons des autres.