Une éclaircie pour les jeunes lycéennes expulsables

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Les associations et syndicats restent très vigilants

Leïla et Megi deux des quatre lycéennes gersoises sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français s'étaient vues en juin refuser leur réinscription dans leur lycée respectif, Alain Fournier à Mirande et Le Garros à Auch. Après le vif soutien des lycéens et de leurs professeurs celles-ci viennent d'obtenir leur réinscription dans ces établissements. La partie n'est cependant pas gagnée car à tout moment les deux jeunes filles peuvent être explusées vers leur pays d'origine à savoir le Burkina Faso pour Leïla et l'Albanie pour Megi. 

Les associations de soutien et les syndicats d'enseignants ont prévenu, si les deux lycéennes n'étaient pas présentes à la rentrée, celle-ci serait perturbée.
 


 

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