Figure de Duran, d'Auch et ses environs il nous a quittés trop tôt et de façon inattendue .
Alain Auzou habitait Duran dès son plus jeune âge , puis l'a délaissé pour habiter Auch à la Hourre et est revenu dans sa petite commune à 19 ans.
Son enfance, son adolescence marquées par des événements malheureux n'ont pas entamé sa joie de vivre, sa générosité, son intégrité , sa loyauté, son ardeur au travail, et son amour des autres.
Marié à Lulu et père fier de son fils Stéphane et de la famille qu'il a construite avec Sophie, il idolâtrait carrément et principalement ses petites filles Chloé et Elsa.
Le clan familial du Louret pleure aujourd'hui un beau frère, un oncle qui était de toutes les fêtes et aussi ...de toutes les corvées, avec sa bonne humeur ( quelquefois bougonnante) et sa force physique.
Il était également très attaché à ses sœurs, son beau frère, ses neveux et nièces côté Auzou .
Amoureux du rugby , il a intégré l 'équipe cadet du FCA et poursuivi dans cette discipline une carrière mémorable qu'il a perpétué à travers son fils , puis en devenant soigneur omniprésent.
Alain a aussi été un des fondateurs de l'équipe de football de Duran, joueur , puis entraîneur .
L'âge avançant il s'est converti assidûment à la pétanque, sans jamais accepter perdre comme d'habitude, mais en terminant toujours les rencontres par d'agapes savoureuses.
L'image du chasseur passionné , lui restera collée à la peau à tout jamais, que ce soit pour la battue au sanglier ou la chasse à la palombe dans ses légendaires palombières !
Très impliqué dans son emploi de chauffeur "passepartout " à la mairie d'Auch, il ne tarissait pas d'anecdotes croustillantes sur les rues encombrées qu'il traversait coûte que coûte au petit matin.
Alain, tu laisseras le souvenir d'un sacré personnage ...
A Lulu son épouse, à Stéphane son fils et Sophie son épouse, à ses petites filles filles Chloé et Elsa, à sa famille, Le Journal du Gers présente ses sincères condoléances.