Un groupe qui va de l'avant, avec un manager exemplaire dans le dynamisme

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Groupe Parera et Jacques Cettolo

En 1968 un Gimontois, Antoine Parera, fonde une entreprise spécialisée dans tout ce qui touche à la cartographie des réseaux, la Société Parera. Dès 1991, un Lislois, issu d’une famille connue dans l’Est du Gers, Jacques Cettolo, devient un des salariés de "Parera".

En 2004 Jacques Cettolo est nommé directeur général, et le chiffre d’affaires est de 3.9 millions d’euros, mais avec 400 000 euros de pertes. C’est l’heure du déménagement vers la commune qui monte : L’Isle-Jourdain.

Dès 2005, sous l’impulsion Cettolo, le chiffre d’affaires atteint 4.5 millions d’euros, pour en arriver à 24 millions d’euros fin 2017, avec un objectif tout à fait plausible de 30 millions d’euros pour 2018.

Vers 1987/1988 Parera avait été vendu au "Groupe Sogéclair" (Aéronautique). Les "occupations" de Parera étaient la cartographie des réseaux pour France-Télécom et EDF, afin d’établir les cartes et la topographie de ces différents réseaux.

En 2001, le Groupe Sogéclair revend à "Ginger", autre groupe exerçant la même activité. On y retrouve toujours ce dynamique dirigeant, Jacques Cettolo, dans ce qui sera « Parera Ingénierie », un personnage de plus en plus influent de la commune, qui se tourne, aussi vers la politique, ayant, un temps, l’intention de participer à une liste pour les municipales de 2008. C’est le moment où nos chemins se croisent avec l’Association "L’Isle Avenir". Compte tenu de ses énormes occupations professionnelles, Jacques Cettolo décide d’abandonner ce projet politique.

En 2010, le Groupe Ginger est absorbé par un groupe néerlandais "Grontmij", mais compte tenu de la culture différente entre les Gens du Nord et les Gens du Sud de l’Europe, des difficultés apparaissent et Grontmij décide de vendre.

En mars 2015, Jacques Cettolo, en personne, rachète avec l’appui d’un fonds d’investissement "Ciclad". La stratégie devient différente, pour le nouveau président directeur général, à savoir le choix des activités et de la croissance externe, pour un développement plus rapide.

C’est ainsi que le "Groupe Parera", nom conservé en hommage au fondateur, Antoine Parera, s’occupe notamment de la pose des compteurs Linky dans le cadre de "Parera Services". Dès juin 2016 la croissance externe de ce groupe apparait avec l’achat de "ILS Océan Indien" basée à Madagascar (65 personnes). Puis en mars 2017, c’est le rachat de "Géotech", basée à Paris, (Informations géographiques propres à eux et édition de logiciels "SIG" avec 5 développeurs).

Enfin (pour l’instant), en septembre 2017, c’est le rachat de "Scide", basée à Troyes, (25 personnes), dans le but d’un développement, dans l’Est de la France, du métier de base. (Topographie et ingénierie des infrastructures)

Un partenariat existe aussi avec l’entreprise "Setel-Ci", société d’électricité et des télécoms de Côte d’Ivoire, assurant l’ingénierie, la construction, l’optimisation, la vente de matériels Télécom et la maintenance des réseaux de téléphonies cellulaires. Cette société se tourne aussi vers l’étude et la réalisation de projets électriques et de travaux de génie civil. Elle est déjà implantée au Cameroun à Douala, avec en ligne de mire, un développement sur l’ensemble du continent africain.

Pour 2018, le "Groupe Parera" projette donc, sur l’Afrique, une orientation export ingénierie et fibre optique.

Dans le Gers, le groupe se tourne aussi vers la fibre optique, au niveau des études avec des travaux réalisés par Axians et les Lislois, depuis plusieurs mois, ont l’occasion d’avoir, sous les yeux, les interventions de ces deux groupes.

Le "Groupe Parera" c’est actuellement une entreprise qui va de l’avant, employant 520 personnes, avec un manager dynamique, apprécié et avenant, son président directeur général, Jacques Cettolo. On le retrouve donc dans la commune, siège social, mais aussi à Paris, à Troyes, à Clermont-Ferrand, à Madagascar, à la Réunion, en Guadeloupe et en Guyane.

Les 50 ans de "Parera" seront fêtés, cette année, dans le Gers, à Monferran-Savès, aux Granges du Meillon, entre Gimont et L’Isle-Jourdain, pour un petit clin d’œil historique.

 

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