En ce premier weekend de juillet , Karine Daries, déléguée régionale du Comité miss France avait invité les 14 élues ( miss et 1ère dauphine) pour un weekend d’intégration au Whaka Lodge de Seissan. Pour le département du Gers étaient donc présentes Nina Pourquéry et sa dauphine Mathilde Tandy . Très souriantes, solaires même, superbes dans leur longue robe immaculée , ces demoiselles ont en premier souligné l’accueil qu’elles ont reçu dans ce lieu unique en France qui propose un concept d’hôtellerie de plein air éco-responsable, avec des hébergements insolites sur un domaine de 12h avec lacs et forêts de chênes Pour elles donc, , un dépaysement total avec un confort haut de gamme et de nombreuses activités ainsi qu’un accompagnement de tous les instants qui les a installées dans une bulle très confortable .
Si les Miss n’ont pas changé de tenue, elles se sont présentées à la presse et aux invités, bien alignées sur un podium posé sur du sable fin, afin de s’exprimer personnellement comme elles le feront lors de la finale régional en septembre au Château de la Garrigue à Villemur-Sur-Tarn.et pour l’une d’elle, lors de la 96ème élection finale en décembre . Chacune d’elles a précisé l’émotion et la fierté qu’elles éprouvaient en se retrouvant à cette place avant d’évoquer ce concours de beauté, beauté physique certes mais qui doit s’accompagner d’une beauté intérieure faisant par la même occasion allusion au féminisme tel qu’elles le conçoivent .
Ce weekend de cohésion, avec de nombreuses activités parfois insolites, et les amenant à se dépasser parfois mais sans esprit de compétition leur a permis de faire bien des découvertes et de nouvelles amies tout en les aidant à mûrir .Elles ont pris conscience qu’elles devront sortir de leur zone de confort et se surpasser, emprunter les chemins de la confiance, rester bienveillantes, etc., ce qui est super motivant et restera une expérience mémorable !
Ensuite c’est de bonne grâce qu’elles ont répondu aux questions posées par les représentants de la presse , comme comment s’adapter à la pression médiatique, évoquant même les réseaux sociaux avec lesquels il faut vivre maintenant.