Le Centre social et culturel le Clan fête cette année ses 40 ans d’existence. René Jambes, le président invite le 24 janvier les élus locaux, les maires, les adhérents et le personnel, pour leur présenter ses vœux.
Il y a deux points principaux dans l’allocution brève et dense de René Jambes.
1 - Le soutien des institutions
L’activité du Clan n’est possible que grâce au soutien :
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de la Communauté de communes du Bas-Armagnac (CCBA) qui apporte son financement et entretient des relations de confiance avec le Clan,
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de la municipalité de Nogaro, dont le soutien est à la fois financier et logistique,
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de la Caisse d’allocations familiales (CAF) : grâce en particulier à Anne Labro (conseillère technique) avec qui « nos questions trouvent toujours des réponses »,
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sans oublier l’ensemble des élus, la cité scolaire, la Maison des solidarités, la Maison de santé et Parlem TV et les clubs sportifs.
2 - La force des adhérents et des bénévoles
L’existence même du Clan leur est due. Ce sont eux qui animent 26 ateliers. Ils sont la force du Clan pour développer une éducation populaire, établir du lien social et faire vivre la culture dans le Bas-Armagnac et au-delà.
Ensuite, le président n’oublie pas de remercier l’équipe de professionnels qui fait fonctionner ce Clan soutenu et animé par les institutions et les bénévoles.
2018
Durant l’année passée, l’accueil et l’entraide au pôle social a beaucoup augmenté. Par ailleurs, si la fréquentation du cinéma a légèrement baissé, c’est moins que la moyenne nationale.
René Jambes choisit deux événements qui ont spécialement marqué 2018 :
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le passage de 4,5 jours à 4 jours à l’école, qui a demandé de gros efforts ; ils ont abouti à un « fonctionnement de qualité » grâce à l’aide de la CCBA,
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la 1re édition du du Festi-théâtre (11 troupes, un millier de spectateurs), grâce à la commission culturelle et à Jocelyne Sanson.
2019
Plusieurs projets sont en cours d’élaboration :
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l’atelier-théâtre répète Les pas perdus, une pièce de Denise Bonal, qui sera représentée pendant deux week-ends en avril,
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des conférences, du hip-hop etc.,
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une aire de jeux supplémentaire et un Algéco,
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la création d’un local Accueil jeunes.
En conclusion, le président appelle les adhérents à rester unis « dans leur diversité » et il souhaite que « notre Bas-Armagnac soit un territoire de tolérance, d’entraide et d’échanges ».