Les vacances commencent cette fin de semaine, comme pour chaque vacances, de nombreuses séances supplémentaires sont prévus !!
MERCREDI 17 OCTOBRE A 20H30, la chasse a évolué dans « THE PREDATOR » porté par le réalisateur Shane Black .
« On doit à Shane Black non seulement des scénarios de films à succès tels que L’Arme Fatale mais aussi la réalisation de Iron Man 3, The Nice Guys ou Kiss Kiss Bang Bang. Il est en outre acteur, connu notamment pour son interprétation du personnage de Hawkins dans le classique Predator de 1987 réalisé par John McTiernan.
Yautja, ce terrifiant extraterrestre qui apparaît à l’écran sous le nom du Prédator depuis le premier film réalisé en 1987, a été conçu à l’origine par le maquilleur Stan Winston, véritable gourou des effets spéciaux, créateur également des légendaires créatures de Alien et Terminator.
John Davis, producteur du film initial et de tous les opus antérieurs de la franchise, évoque ce qui l’a séduit dans le film Predator d’il y a plus de trente ans : "Il s’agissait surtout de l’idée de la chasse. Une idée incarnée par cette créature venue d’une autre planète qui joue sa plus grande partie de chasse face au plus gros des gibiers, et ce commando américain et ces gars pris au coeur de la jungle. À la fin, la créature est surpassée et vaincue, donc bien que le Prédateur ait davantage de muscles et d’armes, l’ingéniosité et le désir de survie de l’homme en fait un combat équitable." » Allocine
Pour ce nouvel opus "Le Prédateur dans ce film est le plus meurtrier et le plus effrayant qui ai jamais existe jusqu’à présent". Shane Black
L’HISTOIRE : Les pires prédateurs de l'univers sont maintenant plus forts et plus intelligents que jamais, ils se sont génétiquement perfectionnés grâce à l'ADN d'autres espèces. Alors qu’un jeune garçon devient accidentellement leur cible, seul un équipage hétéroclite d'anciens soldats et un professeur de science contestataire peuvent empêcher l’extinction de la race humaine.Interdit aux moins de 12 ans
VENDREDI 19 OCTOBRE A 20H30 Une Révolution filmée à hauteur d’hommes et de femmes, « UN PEUPLE ET SON ROI » dans les faubourgs de Paris et dans les ors de Versailles.
La question politique et le débat social étaient déjà au coeur des deux précédents longs métrages de Pierre Schoeller, « Versailles » et « L’Exercice de l’Etat ». Cette fois, le cinéaste plonge dans le passé avec Un Peuple et son roi. Une immersion dans les trois premières années de la Révolution française. Le film démarre en 1789 et s’achève en 1793 avec l’exécution du Roi. Les femmes sont omniprésentes dans Un Peuple et son roi. C’est un fait historique : les femmes étaient là à toutes les dates clés. Laurent Lafitte donne une image assez inédite du Roi Louis XVI. " Je voulais un Louis XVI qui sorte un peu de la figure convenue du monarque victime, dépassé par les événements, bref un Louis XVI sacrificiel et finalement dégagé de ses responsabilités… Cette vision arrange peut-être les nostalgiques et les défenseurs d’une révolution douce, mais malheureusement elle ne résiste pas à l’examen des faits. Louis XVI était polyglotte, c’était un esprit curieux, rationnel, précis, lucide. La question avec lui, c’est sa foi inébranlable qu’il est le dépositaire du bonheur de son peuple. Tant qu’il avalise les réformes vertigineuses de 89 (et souvent sous la pression et le rapport de force), il est adulé. Son aura est très forte. Mais la Révolution prend un cours imprévu. Vous comprenez bien qu’il fallait un comédien d’exception. Laurent Lafitte a été un allié plus que précieux", relate Pierre Schoeller. Pierre Schoeller a travaillé une nouvelle fois avec son chef-opérateur fétiche, Julien Hirsch, qui a signé la lumière de tous les films du réalisateur. "Là, le défi était simple : no electricity ! Parlons des nuits : flambeaux, torches, bougies, lanternes, lueur de la cheminée ou lueur du four du verrier, lustres de la salle du Manège. Les sources sont dans le champ, et très souvent manipulées par les acteurs et figurants. Les images rappelant des tableaux de Jacques-Louis David confèrent grandeur et éclat à cette fresque historique, qui se savoure sur grand écran. Allocine
L'argument : En 1789, un peuple est entré en révolution. Écoutons-le. Il a des choses à nous dire. UN PEUPLE ET SON ROI croise les destins d’hommes et de femmes du peuple, et de figures historiques. Leur lieu de rencontre est la toute jeune Assemblée nationale. Au cœur de l’histoire, il y a le sort du roi et le surgissement de la République…
SAMEDI 20 OCTOBRE A 20H30 Pour les fans de la web-série du même nom « LES DEGUNS » le film d’un duo de comiques découvert sur Youtube
Les Déguns trouve son origine dans une websérie créée en 2014 par Ryad Montel et Mohammed Zouaoui .
La série est diffusée sur Facebook et Youtube puis seulement sur Youtube à partir de la saison 2. La première saison a été diffusée en 2014 et la deuxième en 2015, la troisième saison depuis février 20162. La série a connu un important succès sur la toile au fil des saisons, ainsi les épisodes comptabilisent tous plus d'un million de vues, et la chaîne de la série comptabilise en décembre 2015 près de 26 millions de vues. Le succès de la série est grandissant dès la deuxième saison, dû aux moyens de la production, à la participation de nombreuses personnalités, notamment des rappeurs comme M.O.H, Soprano, Sultan, JUL ou bien des acteurs tels que Pierre Santino, Moussa Maaskri et l'humoriste Bengous. Des personnalités de télé-réalité comme Anaïs Camizuli (Secret Story), Stéphanie Durant et Charlotte Lacourbe (Les Marseillais), Florent Ré et Benjamin Gutierrez (Les Princes de l'amour) y figurent aussi.
A l’image de la série, le film fait appel a une pléiade de guests, dont Cyril Hanouna et Kelly Vedovelli.
Le titre de la série vient du provençal degun équivalent du pronom « personne » en français (mais sans lien avec le nom commun « personne » qui se traduit par persona en provençal). La traduction approximative en français standard serait « Les moins-que-rien ».
SYNOPSIS ET DÉTAILS
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Après 4 saisons d’immense succès sur Youtube, les Déguns arrivent au cinéma. Nono et Karim, deux vrais « déguns » des quartiers de Marseille, se retrouvent enfermés dans un camp de redressement militaire suite à un cambriolage. Réussissant à s’évader, ils vont sillonner les routes de France pour rejoindre la copine de Karim à Saint-Tropez. Leur périple sera fait de rencontres plus improbables les unes que les autres…
MARDI 23 OCTOBRE A 10H , une séance pour les tout-petits a partir de 3 ans avec« LE QUATUOR A CORNES »
Cette séance est a l’ initiative du centre de loisir, elle est cependant ouverte au public.
Aglaé la pipelette, Rosine la tête en l’air, Clarisse la peureuse et Marguerite la coquette ne se contentent pas de regarder passer les trains. Ce petit troupeau de vaches vous entraîne dans leurs aventures à travers ce programme de 3 courts meuhtrages plein de tendresse et d’humour ! D’après les albums d’Yves Cotten
Note d’intention de l'auteur des livres Yves Cotten : »La série Le Quatuor à cornes a vu le jour avec la toute première histoire pour enfant que j’ai écrite et dessinée : Rosine tête en l’air. Celle-ci a été suivie de 3 autres histoires, une pour chacune des autres vaches du petit troupeau. Les 4 albums sont sortis dans leur première édition en 2002 chez An Here en breton et Coop Breizh en français. La série s’est ensuite développée avec une histoire collective (La Clef des champs) puis d’autres histoires où les 4 amies font des rencontres (Dorothy la vache écossaise, Gilberto le taureau et les 4 animaux échappés d’un cirque dans En liberté). Mes vaches ont des caractères bien affirmés, tout en étant ignorantes de certaines choses parce qu’elles sont jeunes et qu’elles n’ont pas l’habitude de quitter leur champ. Mais la jeunesse, c’est aussi la curiosité et elles s’ouvrent un peu plus au monde au fil des albums, en particulier les 4 derniers. »
Chaque courts du programme a une technique esthétiques différentes. En fin de film, un making-of (spécialement préparer pour les tout-petits) expliquant ces techniques d’animation sera projeter.
Durée du programme 43mn. Suivi du making-off et une animation (jeu autour de l’image et des sons).
MARDI 23 OCTOBRE A 15H une aventure rafraîchissante « L’ENVOL DE PLOÉ » un dessin-animé Islandais.
Le conte initiatique « L'ENVOL DE PLOÉ » vous invite en Islande. « Alors que l’hiver approche en Islande, Ploé, craquant petit oisillon blanc et roux aux grands yeux, apprend à voler. Mais il rate la migration vers le sud et se retrouve tout seul. Le jeune pluvier doit alors apprendre à survivre dans le froid. Face aux prédateurs, il va heureusement trouver l’aide d’autres animaux... Dans des paysages magnifiques (neige, fjords, cascades, sources chaudes...), « L’Envol de Ploé » met en scène un héros absolument adorable. Loin des dessins animés hystériques dopé aux bagarres en couleurs flashy, ce magnifique film est plein de douceur et de tendresse. Mais on ne s’y ennuie pas du tout, grâce à des course-poursuite dans les airs, des répliques très drôles, et même une jolie histoire d’amour. » Le Parisien
L'Envol de Ploé est l'un des plus gros succès au box-office islandais en 2017, au point de dépasser des films animés comme Coco et Ferdinand.
MARDI 23 OCTOBRE A 18H un portrait de relation père/fille « LEAVE NO TRACE » dans un cadre original de « survival documentaire »
Leave No Trace trouve son origine dans une histoire vraie qui s'est déroulée à Portland. Une fille et son père ont été découverts alors qu'ils vivaient depuis 4 ans dans la réserve naturelle qui borde la banlieue de la ville. Ils ne s'y aventuraient que pour récupérer la pension d'invalidité du père et y acheter ce qu'ils ne pouvaient pas faire pousser. Malgré ces conditions de vie singulières, l'adolescente était en bonne santé et avait un niveau scolaire supérieur aux gens de son âge. Après avoir été placés dans un hara où le père pouvait travailler, le duo a disparu dans la nature. Si le film s'inspire de cette histore vrai, il s'appuie en réalité sur le roman de Peter Rock qui, fasciné par le mystère qui entoure ce père et sa fille, en a tiré une fiction où il imagine des détails impossibles à connaître. Il n'y a pas de "méchant" dans Leave No Trace. Selon la réalisatrice Debra Granik (Winter’s Bone) , cette absence de menace directe n'empêche pas le film de résonner fortement avec le spectateur. La force antagoniste n'est pas personnifiée mais est tout de même présente : il s'agit de la pression de se conformer à la norme sociale, de survivre hors du monde dit "civilisé". Film projeté en VOST
MARDI 23 OCTOBRE A 20H30 Tom Hardy en anti-héros, il est « VENOM » l’antagoniste emblématique de l’homme-araignée.
Spiderman a beau être un des personnages étendard de l’univers Marvel, sa némésis Venom partage avec lui une immense popularité, qui dépasse largement le cadre des amateurs de comics. Il n’est donc pas étonnant que Sony ait voulu en faire un film. Pourtant, ce « Venom » 2018 fait table rase du passé, et nous propose un tout nouveau personnage, sans aucun lien avec l’homme-araignée, ni même aucun des autres héros Marvel. Le musculeux Tom Hardy reprend ici avec talent un rôle où action et humour s’alternent. Le début du film, avec son nabab mégalomane clairement très inspiré d’Elon Musk, se révèle cependant étonnamment sombre et violent. L’histoire : Eddie Brock, un journaliste scrupuleux voit d’un mauvais œil les affaires de Life Foundation, une multinationale qui se sert d’innocents pour essayer ses produits chimiques. Alors que la firme a découvert des symbiotes extraterrestres, son jeune patron Carlton Drake décide de les implanter dans des cobayes. Les symbiotes s’échappent et changent sans cesse d’hôte. Eddie fusionne alors avec l’une d’entre elles et se transforme en un monstre surpuissant.C’est une créature noire comme jais, visqueuse, à la langue bien baveuse, sorte de Godzilla à tête de cobra, aux crocs de loup surdimensionnés et aux yeux d’ivoire. De toute sa masse semblent jaillir des filaments de pétrole Mais pas de danger pour les petits le film ne contient pas une goutte de sang et probablement pas plus d’un gros mot.