Alain Lalanne ou le plaisir d'écrire

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Sa dernière parution le ramène à ses origines dans la Ténarèze et, plus précisément, à Caussens

Après avoir écrit un premier livre, une autobiographie "Mon papiil est policier," aux éditions Édilivre, Alain Lalanne a eu envie de se faire plaisir et d'écrire un roman. Cela a débouché sur une fiction, le récit d'Une vengeance ordinaire, toujours chez le même éditeur... Une forme humaine flotte dans la piscine des "Mimosas", le départ d'une intrigue qui se déroule sur la côte varoise... On vous laisse le plaisir de découvrir la suite.

Pour son troisième ouvrage, il est revenu sur son parcours professionnel, une véritable déclaration d'amour pour un métier malmené et décrié. Après trente-quatre ans passés dans la police nationale, Alain Lalanne témoigne, d'où le sous-titre de l'ouvrage "État des lieux de sortie : témoignage de flic". Pour mieux comprendre la situation actuelle, il fait un état des lieux de l'intérieur. Nostalgique, l'auteur se remémore ses premiers pas en tant que gardien de la paix et retranscrit l'ambiance bon enfant des années 80.

Un quatrième roman en auto-édition via Amazon, "May et Jane", tendance exotique, se passe entre Paris et la Thaïlande. Même pour un roman où il évoque le tourisme sexuel dans le royaume de Siam, il ne peut s'empêcher de faire appel une fois de plus à un environnement qu'il connaît parfaitement, celui de la brigade criminelle parisienne.

Natif de Condom, il a vécu à Caussens jusqu'à ses vingt ans, il revient régulièrement, au moins deux fois par an, dans la Ténarèze, mais aussi à Fleurance pour rendre visite à sa famille, notamment à son père qui réside toujours dans le Caussensois. 

Pour son cinquième ouvrage, il s'est appuyé sur sa connaissance de cette campagne gersoise, cela donne "Titin de Saint-Fort". L'auberge "Le Vieux Pressoir", dans le hameau de Saint-Fort, à Caussens, sert de cadre au départ de l'intrigue qui se déroule dans les années 70 et qui vous fera vous promener également à Auch et à Toulouse. On découvre Henri San Martino dit Titin un dimanche matin qui se réveille l'esprit embrumé car il a participé à la fête locale la veille au soir...

Vous pouvez connaître la suite de l'histoire en vous rendant à la librairie condomoise, Le Chat Pitre 32, ou à la Maison de la Presse de Fleurance.

Également disponible sur le site Amazon en version liseuse électronique puisqu'il s'agit d'une publication en autoédition.

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