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Il y a malheureusement des week-end où l'extrasportif dépasse le sportif.
Ce n'est pas la défaite de l'équipe première samedi soir à Pessan (1-0) que l’on retiendra, malgré un match correct, mais l'atmosphère malsaine entretenue par certains joueurs de l'équipe locale durant la rencontre et surtout au delà…
Le déplacement chez un adversaire proche au classement, était une bonne occasion pour les violets de confirmer les progrès entrevus le week-end passé et tenter de renouer avec le succès qui les fuit depuis fin 2017.
Sportivement, les riverains de l'Adour n'ont pas de gros regrets à avoir. Les intentions de jeu étaient là, un état d'esprit retrouvé, des occasions franches et même un but…malheureusement refusé par la malhonnêteté manifeste d’un drapeau local. Ceci n’enlève rien au réalisme et opportunisme Pessanais qui a fait la différence.
Il y a bien des éléments contre lesquels on ne peut pas lutter. A condition que ces derniers ne dépassent pas le cadre du football... Cependant Samedi soir, tout cela est allé trop loin.
Comment passer sous silence le comportement inacceptable de certains individus méprisables dont rien ne présage la présence sur un terrain de football pour un jeu. Outre le déluge d'insultes, de provocations, d'intimidations en tout genre durant la rencontre, le clou de ce triste spectacle sera une série d'agressions lâches et caractérisées dans la pénombre du retour aux vestiaires, loin des regards des dirigeants et arbitres.
En résulte quelques stigmates ici et là mais surtout de la honte, du dégoût et du mépris, pour ces individus lâches et traitres aux numéros fort bien lisibles.
C’est donc sans réception et dans un sentiment de frustration que nos joueurs regagnèrent leur base.
Dimanche prochain retour au football, le vrai celui qu'on aime, celui que les petits clubs amateurs s'attachent à défendre, avec la double réception, première (15h) et réserve (13h) à Jû-Belloc, du voisin risclois.
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