.jpg)
Thomas Guasch, candidat aux législatives de 2017, dans la 2e circonscription, vient de s’exprimer sur la protection des salariés.
« La nomination d’Edouard Philippe et la formation de son gouvernement lèvent partiellement le voile sur la ligne économique de la présidence Macron : un ultra libéralisme assumé et un mondialisme effréné, l’un et l’autre étant dictés par l’Union Européenne et par l’Allemagne.
Le renouveau annoncé est directement contredit par les visages et les idées qui sont les mêmes que les précédents gouvernements : celles de l’UMPS et de l’UDI.
Une loi travail exigée par l’Union Européenne est déjà en préparation : elle ne permettra en aucune manière de relancer l’emploi. Elle n’a pour but que de casser le code du travail, en augmentant la concurrence des salariés entre eux et des entreprises entre elles.
Que le gagnant gagne, que le perdant perde : Il s’agit d’organiser la guerre de tous contre tous, où l’on assume la devise « Que le plus gros ou le plus fort rafle la mise ! »
La petite économie si caractéristique du Gers sera particulièrement exposée.
Elu député, je m’opposerai à cette loi et notamment à ses modalités de mise en place par ordonnances, qui s’apparente à un passage en force dans la mesure où les Français y sont opposés dans leur grande majorité.
Par mes votes et mes actions déterminées aux côtés des salariés Gersois, et avec un groupe « Front National » fort à l’Assemblée, nous contraindrons le gouvernement à tenir compte de l’opposition du peuple et non uniquement des exigences du grand patronat.
Favoriser les accords de branche plutôt que les accords d’entreprise sera mon premier combat de député patriote à l’Assemblée Nationale.
Elu député, je veillerai à ce que la politique menée soit toujours bénéfique au plus grand nombre et non à une « élite » toujours plus réduite.
C’est avec force et détermination que je m’opposerai à toute loi qui ne respecte pas ce principe. »